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Hackathon eGov Wallonia : de l'Open Data à la gouvernance ouverte

Le premier Hackathon wallon a repositionné la wallonie en temps que précuseur local de l'open dataLe premier Hackathon wallon qui s'est tenu le premier week-end d'octobre dans l'espace Coworking Namur a accouché de 3 lauréats dans des domaines aussi variés que la mobilité, la transparence parlementaire ou les arbres remarquables (namurois). Le principe d'un Hackathon (contraction de hack et de marathon) est d'exploiter des sources de données mises à disposition par les administrations et services publics. Durant trois jours, des développeurs informatiques, des responsables de l'administration régionale, des para-stataux régionaux et des citoyens usagers se sont rassemblés avec un objectif : développer le prototype d'un ou plusieurs services en ligne à destination des usagers publics.

Innovation ouverte
Philippe Verstichel, co-organisateur avec Jean-Yves Huwart de ce premier marathon de données wallon : « L'Hackathon E-Gov Wallonia s'inscrit dans le programme Creative People de Creative wallonia. Couplant l'Open Data à l'E-governement, il se distingue par sa métholologie basée sur l'innovation ouverte et par sa dimension collaborative. » Encadré par l'Agence de Stimulation Economique, supporté par l'eWBS et par Infopole, il a réuni l'espace de 3 jours les mondes de l'administration, des associations citoyennes et des développeurs. « Nous avons réussi à mettre autour de la table des acteurs et des univers qui, en règle générale ne se côtoient pas. Ce premier Hackathon montre qu'on peut initier des projets où administrations, développeurs et designers travaillent de concert au service du citoyen. L'événement a pu compter sur des sets de données exceptionnels : la cartographie des chantiers de 5 communes wallonnes, les données Trafiroute en temps réel, les infos SNCB et les coordonnées des 30.000 arrêts de bus. En tout, une quinzaine d'organismes publics ont joué le jeu et mis à disposition leurs sets de données dont l'INS, le Forem,  la Ville de Namur, l'ETNIC, le BEP et la CWAPE. » 7 projets ont été développés dont un à la demande des pompiers pour assurer le bon routage des véhicules de secours tenant compte des largeurs de rue ou des travaux en cours. Les équipes ont également travaillé sur une application de géolocalisation des bus en temps réel à partir d'un smartphone.

Trois lauréats

Les organisateurs avaient décidé de récompenser 3 équipes, l'une pour le prototype jugé le meilleur, l'autre pour celui matérialisant la meilleure idée, le troisième pour celui qui accouchait d'un maximum de sources de données différentes. Le prix du meilleur prototype a été attribué à l'application MobilIT (prononcer mobilité). Il s'agit d'un comparateur de moyens de transports dans une approche multi-modale (route, train et vélo) et multi-critère (temps, coût, CO2, calories, confort), ce à partir de set de données mises à disposition pour l'occasion par les TEC et la SNCB : routes et autoroutes, ravel et voies lentes, horaires des trains et bus. Le prix de la meilleure idée revient à NosElus.be. Cette application a pour ambition de rendre accessible et diffuser le travail parlementaire. Le projet le plus « multi-source » s'intitule « Création Parcours Magique ». Il s'agit d'une application mobile qui va permettre de découvrir une ville (celle de Namur en l'occurence) par le biais d'un parcours ludique conçu à partir des set de données des Musées de la ville, du patrimoine wallon, des arbres remarquables et des trajets fluviaux. Jean-Yves Huwart : «Avec cette manifestation, nous avons réussi à percer une brèche dans le mur de la résistance à l'Open Data et montré l'intérêt d'une nouvelle manière de travailler de façon croisée et ouverte. »

Tags : ASE - données ouvertes - eWBS - Forem - Hackathon - Huwart - Namur - Open Data - Open Innovation - région-wallonne - Verstichel - Wallonie

ReWics 2013 : Open Data, le nouvel or noir de l'économie digitale

REWiCS_RGB.jpgLorsque l'on parle d'Open Data, on pense à l'ouverture des quantités énormes d'informations que les administrations brassent pour remplir leurs nombreuses missions de services publics. L'idée : les mettre à disposition de tous afin de favoriser l'émergence de nouveaux services. Un exemple parmi d'autre avec le portail « données ouvertes » de la ville de Montreal. Sa fonction : proposer des données pouvant être réutilisées à différentes fins, y compris commerciales. Pour les responsables locaux de la ville, «les résultats de cette réutilisation peuvent ensuite être partagés dans la communauté, ce qui crée un effet démultiplicateur. Les données libérées et réutilisées génèrent ainsi des bénéfices à la fois dans les sphères économiques, culturelles, sociales et technologiques.  Elles sont enfin source d'économies d'échelle au sein de l'administration et constitue un puissant moteur qui stimulera le foisonnement d'idées, l'entrepreneuriat et l'innovation ouverte. ». L'Open Data serait ainsi, selon la Commission européenne, la nouvelle mine d'or de l'économie du vieux continent.

Données ouvertes communautaires et scientifiques
Le minerai précieux ne s'extraira pas unique dans le domaine public. Certaines entreprises ouvrent aussi leurs bases de données, le plus souvent à des fins de cohésion et d'optimisation des processus internes. Robert Viseur, ingénieur de recherche senior au CETIC, assistant à la Faculté Polytechnique de Mons  : « A côté des initiatives publiques et privées, on assistent à l'émergence de communautés comme OpenStreetMap dans lesquelles la collecte des données est basée sur le Crowdsourcing. » OpenStreetMap est un projet international fondé en 2004 dans le but de créer une carte libre du monde. Chaque participant peut y contribuer, ici en corrigeant une erreur de nom de rue, là en signalant l'existence d'un nouveau sens unique dans son quartier, ce à partir d'images aériennes ou d'enregistrements issus de GPS ou de photos géolocalisées capturées par les smartphones des adhérents au programme OpenStreetMap.  La quatrième et dernière grande famille d'Open Data trouve son fondement dans le domaine scientifique. Robert Viseur :« Face à la vélléité de certains éditeurs à renforcer de façon excessive le droit d'auteur -je songe par exemple à la loi Mickey Mouse-, on a vu apparaître des mouvements d'accès ouvert qui visent qui vise à publier des articles scientifiques de façon libre de droit. » Ce tant au niveau du texte de l'article qu'au niveau du fond du sujet. « Lorsque l'on publie un article sur un nouvel algorithme de traitement de l'image, ce qui est intéressant, ce n'est pas tant l'article en soi que l'accès à l'algorithme qui va permettre de vérifier en entrée et sortie la validité du processus de traitement des données. Les politiques d'Open Access permettent ainsi de créer un environnement collaboratif pour faciliter la validation et l'amélioration des résultats de la recherche. »

Relancer une dynamique en Wallonie
Ce n'est pas rien. La commission européenne estime à 140 milliards d'euros le marché annuel de l'Open Data dans l'Union. «Nous avons en Wallonie un plan Master TIC  qui comporte un chapitre intitulé « Open Data ». Le problème, explique Philippe Verstichel, initiateur du Hackathon eGov Wallonia 2013, est que pour l'instant, on n'a pas avancé d'un iota à ce niveau.» D'où la prochaine initiative Hackathon qui va réunir des responsables de l'administration, des citoyens et des développeurs en octobre prochain à Namur afin de réfléchir à de nouveaux services en ligne. Ce n'est pas encore la ruée vers l'or mais c'est un pas dans la bonne direction...

Tags : Hackaton - Open Data - ReWICS

Le baromètre national 2012 des TIC en Belgique par le SPF Economie

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LE SPF Economie a publié récemment des chiffres sur les usages TIC en Belgique. Ces chiffres ont la particularité d'être à jour (1° semestre 2012) et d'être à un niveau national (contrairement au Baromètre de l'AWT, strictement wallon).

Ces données concernent les particuliers mais également les entreprises, l'e-Gov et les e-Skills.

On y apprend ainsi que :

  • 79% des ménages belges disposent au moins d'un ordinateur, ce chiffre atteint même les 94% pour les ménages avec enfants. (Soit une augmentation de 7% par rapport aux chiffres wallons du Baromètre AWT -  http://www.epn-ressources.be/baromtre-tic-de-la-wallonie-2012)
  • Le moyen le plus populaire pour se connecter à Internet reste l'ordinateur portable (72%) devant l'ordinateur de bureau (60%). On trouve dans ces chiffres, 4% d'utilisation de tablettes (on est bien loin des 23% fantaisistes publiés par Geeko - http://geeko.lesoir.be/2012/10/09/un-quart-des-foyers-belges-possede-une-tablette/)
  • 77% des ménages belges disposent d'une connexion internet (pour 71% des Wallons dans le Baromètre de l'AWT)
  • 83% des Belges qui ont utilisé l'ordinateur au cours des trois derniers mois en font usage quotidiennement
  • 10% surfent sur Internet via une connexion mobile
  • 54% effectuent leurs opérations bancaires en ligne
  • 43% ont effectué des achats en ligne au cours des douze derniers mois

Vous pouvez télécharger ou commander cette publication sur internet ICI
Vous pouvez également obtenir la publication via la boutique « Infoshop SPF Economie » à l'adresse Rue du Progrès 48 - 1210 BRUXELLES (Contact : tél. 02 277 55 76 o email infoshop@economie.fgov.be)


Tags : Belgique

La fracture numérique se réduit-elle en Belgique ?

(Résumé de l'article paru dans la lettre EMERIT de Mars 2010)

Emertit2010Le trimestriel d'information de la Fondation Travail-Université pose cette question intéressante et permet de faire la mise au point début 2010 sur l'inclusion numérique en Belgique.

En juin 2006, les pays membres de l'Union européenne se sont engagés à "réduire de moitié la fracture numérique sur la période 2005-2010". La Belgique va-t-elle atteindre cet objectif ?

D'après les différentes études réalisées (FTU et Statbel entre autres...), en Belgique plus de 80% des individus entre de 25 et 55 ans utilisent régulièrement Internet. Ce qu'on remarque aujourd'hui c'est que si la diffusion d'Internet s'est étendue au cours de ces dernières années, il y a une catégorie de la population dans laquelle le nombre d'utilisateurs n'a pas augmenté : celle dont les revenus sont les plus bas. Le revenu reste donc une cause très importante dans l'inégalité de l'accès à Internet. D'autres variables interviennent également : le niveau de diplôme, le statut professionnel, les écarts entre hommes et femmes et les disparités géographiques. En effet, les régions économiquement défavorisées et les zones rurales comptent davantage de population éloignée de l'Internet.

Si on observe un léger recul dans cette catégorie de la population belge, on observe quand même des taux de croissance élevés dans les accès dans certaines catégories sociales comme les seniors (+58% chez les 55-64 ans et +133% chez les 65-74 ans !) ou les demandeurs d'emploi (+51%). Ceci indique une sorte d'effet de rattrapage pour ces catégories.

Alors, peut-on dire que la fracture numérique se réduit en Belgique ? Oui parce que le nombre de connexion augmente très rapidement et qu'on constate que certaines catégories sociales rattrapent leur retard mais "la fracture numérique ne se mesure pas au nombre de personnes connectées mais à la diminution des écarts entre les catégories de la population". Ce sont ces écarts qui sont à l'origine d'inégalités sociales face au développement de la société de l'information.

Ainsi, pour savoir si la fracture numérique s'est réduite, il faut mesurer les écarts entre les différentes catégories de la population et les examiner. Sur base des données Eurostat pour la Belgique (Calculs FTU 2010), il apparaît que de 2005 à 2009, tous les écarts se sont réduits sauf par rapport au revenu. Dans ce domaine, le fossé s'est même creusé au détriment du quart de la population qui dispose des revenus les plus bas.

Les objectifs de la Déclaration de Riga (Les pays membres de l'Union européenne s'engagent en faveur d'une société de l'information accessible fondée sur l'inclusion) sont atteints ou presque atteints pour certains groupes cibles comme les seniors par exemple mais, en revanche mais sont loin d'être atteints pour d'autres catégories sociales (personnes peu diplômées, ...). Si le bilan est globalement favorable, il est important aujourd'hui de mettre l'accent sur l'identification de ceux et celles qui n'ont pas encore accès à Internet, de comprendre pourquoi ils en sont exclus et de créer des politiques ciblées pour favoriser l'inclusion numérique et par cette voie, l'inclusion sociale.


Tags : Belgique - fracture-numérique - seniors

Une personne sur 2 utilise Internet quotidiennement dans l'UE !

eurostat_logoEurostat (l'Office statistiques des Communautés européennes) a publié un communiqué de  presse résumant une partie des résultats d'une enquête menée sur l'utilisation des TIC par les ménages et les particuliers dans les Etats membres de l'UE27.

Il en ressort que 65% des ménages avaient accès à Internet au premier trimestre 2009 contre 60% en 2008 et 56% disposaient d'une connexion à large bande contre 49% en 2008. La donnée la plus importante est qu'une personne sur deux dans l'UE utilise aujourd'hui Internet quotidiennement !

La Belgique est dans le peloton de tête juste après le premier groupe (Pays-Bas, Luxembourg, Allemagne, Royaume-Uni et Autriche) et les pays nordiques (Suède, Danemark, Finlande). Elle affiche 67% de ménages ayant accès à Internet (pour 60% en 2007) et 63% de connexion à large bande (pour 56% en 2007).

Si la moyenne d'utilisation quotidienne d'Internet en UE27 est de 48 % (16 à 74 ans) (et de 73% chez les 16 à 24 ans !), la Belgique affiche 56% d'utilisation quotidienne pour les 16 à 74 ans (et 77% chez les plus jeunes !).

Lien vers le communiqué de presse Eurostat.


Tags : Belgique - europe - Internet - Usages

Ma vision de la Gare des Guillemins

garedesguillemins

Une nouvelle architecture, une structure monumentale, un appareil photographique et une belle idée. La nouvelle gare des Guillemins à Liège oeuvre de l'architecte espagnol Santiago Calatrava donne lieu à des travaux artistiques photographiques des plus intéressants.

C'est dans ce cadre futuriste, avec des formes gigantesques élancées et en e vers le ciel que le photographe Steve Collin a immortalisé sur numérique, des clichés de la fameuse gare. Il explique sa démarche dans un long article illustré  Ma vision de la Gare des Guillemins : contexte, visions et options photographiques.

L'ensemble du reportage photographique peut être visionné à cette adresse sur FlickR. Steve Collin, auteur de ces clichés, étudie la photographie à Saint-Luc Liège.

De quoi donner des idées à des EPN qui peuvent initier les publics à la photographie numérique avec des reportages sur l'architecture contemporaine, moderne ou patrimoniale.

(Via Gonzague Dambricourt)

Crédit photo : Gare des Guillemins - Liège. Cliché de J.-L. Raymond.

Tags : Belgique - image - Wallonie

23 000 cyberdépendants en Wallonie

cyberdependance

La Commission des Jeux de Hasard (organisme Fédéral Belge) communique ce matin via l'Agence de Presse Belga sur une info choc : il y aurait 23 000 cyberdépendants en Wallonie.

Étienne Marique, président de la Commission des Jeux de Hasard, organisme en charge de la régulation des sociétés privées (jeux sur Internet, jeux télévisés, casinos, salles de jeux et cafés) s'intéresse à la protection des joueurs et communique aujourd"hui sur l'assuétude aux jeux sur Internet :
"Il faut savoir que les machines réelles ne peuvent prendre qu'un montant maximum moyen par heure, montant qui variera selon qu'on soit dans un café (12,50 EUR /h), une salle de jeux (25 EUR /h) ou un casino (70 EUR /h). Sur Internet, ces pertes horaires moyennes s'élèvent à 750 EUR. C'est dire si le danger des jeux en ligne est annonciateur de catastrophes si l'on ne le réglemente pas."

1% de la population belge concerné


1% de la population belge serait concerné par l'assuétude au jeu. La CJH souhaiterait également instaurer un âge minimum pour les jeux en ligne avec l'utilisation obligatoire de la carte d'identité électronique eID pour pouvoir démarrer un bingo.

Un récent rapport de l'Institut Wallon de Santé Mentale Asbl précise une différence de genres dans la cyberdépendance :
"Les hommes se rendent plutôt sur les sites pour des rencontres sexuelles ou érotiques, voire affectives, sans oublier les jeux. Pour les femmes, outre les jeux et les rencontres affectives, les sites de web-commerce sont très plébiscités. L'achat compulsif est un vrai problème. Il faut aussi faire attention à la dépendance des jeux en réseau et à des systèmes comme Facebook."

Sensibilisation des professionnels à la Cyberdépendance

A noter que  L'IWSM, en association avec l'Asbl Nadja (Traitement, Documentation, Prévention des Dépendances), travaille suite à ce rapport (communiqué à la Région Wallonne début octobre, et bientôt en ligne publiquement) à la construction d'un module de sensibilisation des professionnels à la question des usages et des usages problématiques d'Internet et des Jeux vidéo (et plus largement, des Technologies de l'Information et de la Communication).

Tags : Belgique - formation - prévention - Wallonie

InterTux, annuaire avec cartographie des acteurs associatifs et professionnels du Web libre et Open Source

intertux

Yves Specht, webmaster, a eu une très bonne idée : créer un site baptisé InterTux, annuaire avec cartographie des acteurs associatifs et professionnels du Web libre et Open Source en France, Belgique et dans plus de 14 pays à travers le monde.

InterTux regroupe aujourd'hui plus de 300 sites. On y retrouve des GUL (Groupements d'Utilisateurs de Linux), des éditeurs de logiciels, des distributeurs de matériels Open Source, des portails de musique libre et entreprises de formation. Il est bien évidemment possible de se faire référencer gratuitement dans cet annuaire.

"Intertux est destiné à regrouper les sites francophones ayant comme points communs GNU/Linux et/ou les Logiciels Libres."

Tags : Belgique - france - logiciel-libre

Ces agendas qui vous facilitent la vie...

connectetoi

Pour les EPN (Espaces Publics Numériques) en manque d'inspiration, il existe plusieurs agendas en ligne qui peuvent vous aider à trouver des idées afin de développer de nouvelles initiatives thématiques, idées d'ateliers, animations et activités.

A ne pas négliger, QueFaire.be qui offre un large panel d'activités de loisirs avec son agenda bien connu. En effectuant une recherche par mots-clés ("internet", "informatique" par exemple), vous pouvez cerner l'offre de formations et d'évènements en Belgique. Cela éveille la curiosité...

Pour faire découvrir les logiciels libres, plongez-vous dans l'Agenda du Libre qui recense en France (mais aussi en Belgique) les événements liés à la découverte de l'Open Source. Il existe mille et une façons et faire découvrir les logiciels libres et les multiples initiatives locales figurant dans cet agenda le prouvent.

Le dispositif Picardie en Ligne (Espaces Publics Numériques labellisés par la Région Picardie, en France) s'est doté en une de son portail, d'une rubrique Actualités où sont renseignés avec soin des activités phares des EPN de cette région. Beaucoup de bonnes idées pour sortir des sentiers battus et renouveler ses ateliers. N'hésitez pas à rentrer directement en contact avec les EPN concernés si vous êtes intéressés par une activité !

semaineeducationmedias

En recherche d'une action à mener sur le thème de l'Education au Multimédia, parcourez avec intérêt le calendrier des événements de la Semaine Education Médias 2009 au Canada. Le plus : un accès aux archives 2007 et 2008 des animations de cette même semaine.

Des activités pour les Seniors ? En France, le thème de la Semaine Bleue 2009 est "Jeunes et Vieux : Connectez-vous ?" Chaque institution, organisme, association et collectivité territoriale peuvent signaler une initiative locale qu'ils proposeront dans ce cadre du 19 au 25 octobre via un agenda des manifestations.

Enfin, en France, la Délégation aux Usages de l'Internet propose un Agenda de l'Accès Public à Internet : "Cet agenda partagé est destiné à promouvoir les évènements concernant l'accès public à internet. Il est alimenté par les acteurs eux-mêmes, les évènements proposés sont affichés après modération".

Tags : animation - événement - Belgique - EPN - france - logiciel-libre - seniors

Arts technologiques au BRASS, Forest Centre Culturel

lebrass

Du 24 au 27 Septembre 2009, Le BRASS (Forest, centre culturel, Belgique) présente une série de rencontres consacrées aux Arts Technologiques et numériques.

Le BRASS est l'un des centres travaillant au développement des arts technologiques en Communauté française Wallonie Bruxelles. Il favorise l'accessibilité de tous les publics et les résidences d'artistes au sein de sa structure.

Pendant 4 jours, c'est donc l'occasion de découvrir les oeuvres d'artistes multimédia et de converser avec eux : Thomas Israël, Nios Karma, Rachid Moro, Julien Odeur, Charon RC, Hélène Scholer, Jacques Urbanska, François Zajéga...

Le vernissage se déroule le 24 septembre à partir de 18h.

Le programmes des performances, installations et visites d'ateliers ont lieu du 24 au 27 septembre 2009. Le programme complet des festivités et animations est à consulter sur le blog du BRASS.

Contact :

LE BRASS, 364 avenue, Van Volxem, 1190 Bruxelles (trams et bus 49, 50, 82 et 97, arrêt Wiels). E-mail : info@forestcentreculturel.be

Tags : événement - Belgique - bruxelles - culture - exposition

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