Le blog

Le nouveau logo des EPN de Wallonie

Dans le prolongement du changement de logo et du repositionnement d'image de la Région wallonne, le logo des EPN de Wallonie se devait d'être adapté en conséquence puisqu'il intègre l'ancien logo officiel. Un appel d'offre a donc été lancé pour renouveler complètement l'approche. En effet, si le projet devait avoir une identité wallonne, il ne devait plus obligatoirement intégrer le logo officiel. Il se devait d'être accrocheur et plus compréhensible par le citoyen mais aussi dynamique comme l'était le précédent.

Voici donc le nouveau logo des Espaces Publics Numériques de Wallonie :

EPN-Wallonie - logo

A la fois très lisible et compréhensible, le logo EPN a été développé au moyen d'éléments graphiques aisément identifiables :

  1. Le smiley ;-) : élément typographique universellement utilisé et accepté dans toute communication actuelle (E-mail, sms, courrier Word...). Il représente à la fois la communication au sens large et la communication de type numérique et multimédia. Il est un symbole de la nouvelle culture numérique. Il représente un clin d'oeil, ce qui met en évidence la qualité de l'accueil et des échanges. Son aspect sympathique et universel le rend très ouvert à tous. Le clin d'oeil apporte également l'idée de complicité, de convivialité, de dédramatisation de la culture numérique et d'accompagnement dans l'apprentissage.
  2. La tête et la crête du coq de Paulus, qui apparaissent en quasi filigrane, rappellent discrètement l'appartenance à la Wallonie.
  3. La typographie ronde et simple, choisie pour le logotype ainsi que le choix limité de couleurs, lui permettent une intégration aisée sur tous supports numériques et imprimés. La police est italique pour accentuer l'impression de dynamique; les minuscules adoucissent et apaisent; la couleur pourpre, apolitique, est classée parmi les préférées du public.

Le nouveau logo s'intègrera progressivement sur toutes les couches de communication du Réseau et le présent blog subira une refonte graphique avec les nouvelles couleurs.


Tags : EPN

Jimdo et les EPN de Wallonie

Jimdo Logo

Dans le cadre des Micro-projets 2011 financés par la Région wallonne, il est prévu de mettre à disposition des animateurs des EPN de Wallonie un ensemble de services Web qui vont leur permettre d'afficher une présence en ligne pour promouvoir leurs activités et leur espace.

En effet, Il a été constaté de manière concordante lors du dépouillement du questionnaire sur les usages Web 2.0 en EPN (Rencontre des EPN à  Marche, 2009) et lors de l'évaluation annuelle 2009 que 25% seulement des EPN disposent d'un site Internet actif qui leur est propre. Si ce nombre peut paraitre étonnant dans le chef de formateurs TIC, il faut savoir que créer un site demande des ressources financières, du temps, des compétences, de la créativité, des ressources technologiques (espace FTP, CMS,..).

Le Centre de ressources a donc entrepris une étude marché des solutions Web de publication (Domaine+hébergement+services 2.0) en privilégiant les critères suivants : une administration conviviale et en langue française, une offre hébergement et domaine liés, la possibilité de publier facilement photos et vidéos, un helpdesk spécifique.

Au bout de plusieurs semaines d'étude, la solution Jimdo s'est progressivement imposée pour la simplicité de son espace d'administration, la puissance de son CMS, ses services 2.0, ses nombreux designs et la possibilité de les personnaliser, etc...

Mais, dès la prise de contact, c'est un véritable partenariat qui s'est mis en place et plus une relation seulement commerciale. Jimdo a été séduit par la mission des Espaces Publics Numériques de Wallonie et a proposé donc une solution spécifique pour le Réseau :

  • Sur base de l'offre Pro de Jimdo, les animateurs des EPN de Wallonie disposeront d'un nom de domaine attaché au futur domaine du portail à venir (Epn-Wallonie.be), un hébergement de 5Go, un compte E-mail de 10 Go, un référencement intégré, des statistiques, etc...
  • Une page dédiée a été créée pour les animateurs pour faciliter leur inscription et la prise en main du CMS
  • Les animateurs bénéficieront d'un support technique privilégié
  • Cette offre est valable pour les 2 prochaines années et sera renouvelable
  • Le Centre de ressources aura également le soutien technique et commercial de Jimdo Europe pendant les 2 prochaines années

Le Centre de ressources organisera également une série de formations délocalisées pour accompagner les animateurs désireux d'être formés à la création de site.

NB : 2 représentantes de Jimdo seront présentes aux Rewics pour parler de ce projet et présenter l'offre Jimdo !


Tags : région-wallonne - site-internet

Les Rewics 2011 et les EPN

rewics smiley 150-100 (2)

Les Rencontres wallonnes de l'Internet Citoyen 2011 (Rewics) se dérouleront ce 4 mai à l'Espace Géode à Charleroi.

Les EPN de Wallonie y auront une place privilégiée. Dès 9h10, lors de la conférence "Le dispositif "New-look"  des EPN de Wallonie se dévoile..." l'actualité des EPN sera dévoilée : la nouvelle orientation du dispositif (adapter le dispositif à l'évolution des besoins et enjeux de la fracture numérique, aux missions attribuées aux Espaces publics numériques dans la Déclaration de politique régionale), la nouvelle Charte, le nouveau logo, le référentiel du métier d'animateur multimédia, l'actualité des Micro-projets et d'Open EPN et la Labellisation de 2 nouveaux EPN : Floren'Clic à Florennes et Sombreffe.

A 11h00, c'est la conférence "L'animation numérique du territoire au coeur de la pérennisation des EPN".

Dès 11h50, la conférence "Démocratie locale et innovation sociale" parlera de l'étude sur les initiatives locales visant à renforcer la participation citoyenne et la démocratie locale. Cette enquête s'inscrit dans le cadre des mesures de la déclaration de politique régionale visant à développer la participation citoyenne, particulièrement en encourageant les "communautés d'utilisateurs", pour une mise en commun et un partage des savoirs. Cet atelier lancera officiellement le projet.

Moment important, dès 13h20, avec la signature d'un protocole de coopération entre têtes de réseau EPN. En effet, Les coordinateurs des réseaux d'EPN de Flandre (Linc), de Bruxelles (Caban), de Wallonie (Technofutur TIC), mais aussi de certaines régions de France signeront en public un protocole d'accord afin de renforcer les synergies entre eux, s'informer de leurs projets et mutualiser leurs bonnes pratiques, tout cela en présence du Secrétaire d'Etat, Monsieur Philippe Courard.

Juste après, à 13h40, la FTU présentera l'étude commanditée par le SPP Intégration sociale réalisée en 2010 (évaluation du Plan national par la Fondation Travail-Université et le Centre de recherche K-point de la Katholieke Hoogeschool Kempen). Cette étude a porté sur la première phase du plan (2005-2010), mais elle a aussi émis des orientations et propositions pour l'avenir.

14h35, c'est la conférence "Organiser et animer en EPN ou OISP des ateliers de recherche d'emploi sur Internet". Le Web est devenu un lieu incontournable de diffusion d'offres d'emploi, c'est également un levier puissant pour identifier les offres non publiées et activer des réseaux pour postuler.

15h10, "Ordinateurs solidaires, les réseaux de récupération et de recyclage en Belgique" proposera les solutions de recyclage existantes aujourd'hui sur notre territoire. Plusieurs réseaux d'économie sociale placent le recyclage de matériels informatiques au coeur de leurs projets, avec leurs membres et bénéficiaires : CF2M, Droits et devoirs, Oxfam solidarité, Fobagra, SISF. Une piste effective vers une informatique plus solidaire, sociale, durable ?

La fin de la journée, à 16h20, se clôturera par la présentation du CMS en ligne Jimdo d'un côté et d'une présentation d'activités ludo-pégagogiques autour du livre numérique.

Alors, on vous voit ce 4 Mai aux Rewics ?


Tags : EPN - ReWICS

Veille de la semaine

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Tags : veille

L'Orme 2011 (fin) : de l'identité numérique

Comme les Rewics qui arrivent, les Rencontres de l'Orme ont l'avantage de permettre la juxtaposition entre personnalités de divers secteurs : gérants et commerciaux, acteurs sociaux et militants, élus politiques et représentants institutionnels, chacun peut participer à cette «longue conversation».

L'un des temps forts des Rencontres 2011 restera le colloque intitulé « Gérer son identité dans les réseaux, une responsabilité à partager ? » animé par J.-L. Mure. Trois intervenants de grande qualité se sont succédés : Renaud Francou (de la FING),  Paul  Mathias (Inspecteur général de l'Éducation nationale) et Antoinette Rouvroy (de l'Université de Namur).

Renaud Francou a commencé par poser quelques grandes questions. Qu'est-ce que l'identité numérique ? Que disent de nous les données en ligne ? Si l'identité se résume aux traces qu'on laisse, ne sommes-nous pas atteints de schizophrénie numérique ? L'identité numérique ne peut être que plurielle, fragmentée. L'intime «extimé» est dans l'air du temps... Ce qu'un Mark Zuckerberg (entre autres) a bien compris, c'est que la norme sociale a changé : on veut bien s'exposer, mais on veut rester maîtres de ses données. Désormais, il faut «se projeter tout en se protégeant... Soyons stratégiques plutôt que défensifs», conclut-il.

Paul Mathias ensuite est revenu sur une question philosophique fondamentale : «Qui suis-je ?» L'identité autrefois était donnée par un récit, elle l'est désormais par un calcul. L'identité numérique s'écrit en octets : elle est indéfiniment recalculable. Internet permet de perpétuellement se relire, se remémorer qui l'on est. On se reconfigure sans cesse au contact des autres. Nous ne sommes pas seulement des usagers, mais des produits qui générons des contenus. Jamais on ne s'est autant raconté, jamais nous n'avons divulgué autant d'informations personnelles, mais ce n'est pas nous qui calculons notre identité, et nous ne savons pas ce que deviennent nos discours. En ce sens, nous savons de moins en moins ce que nous disons.

Antoinette Rouvroy enfin est revenue sur la notion de sujet. Nous sommes des «dividus», propose-t-elle, c'est-à-dire des individus dispersés. Tout est enregistré automatiquement, même ce qui n'a pas de sens, ce qui fait de nous des êtres fragmentés. La perte de contrôle de nos traces et de nos trajectoires nous éloigne de nous-mêmes. On assiste à l'essor d'une nouvelle gouvernementalité toujours plus normative qui évite la confrontation avec les sujets. Il faut pourtant relativiser l'idée qu'on perd de l'autonomie : en fait,«nous n'avons jamais été sujets». Ce qu'il faut sauvegarder, c'est la possibilité de donner du sens à nos actes, quitte à faire ressurgir l'incertitude.

Illustration : "La Rêveuse, photo d'Antoinette Rouvroy prise à Marseille.

Pour aller plus loin :

Vous retrouverez le résumé de chaque contribution ici : http://www.orme-multimedia.org/r2011/images/stories/orme2.11/pdf/intervenants/orme2.11_contributions.pdf

Renaud Francou : Site de la Fing http://fing.org/?-Presentation-

Paul Mathias : http://diktyologie.homo-numericus.net/

Antoinette Rouvroy : http://works.bepress.com/antoinette_rouvroy/ (articles) et http://knownbylight.wordpress.com (photos)

Prochain rendez-vous des Rencontres de l'Orme : 21-22 mars 2012


Des nouvelles d'Open EPN...

C'est dans le cadre des prochains Rewics qui auront lieu ce mercredi 4 mai 2011 à la Géode de Charleroi que la demande sera faite aux EPN de Wallonie de participer à la première phase de tests de l'application.

Afin de faciliter le travail des développeurs, une équipe sera mise sur pied pour centraliser et répertorier les différents bugs de l'application et remonter ces bugs vers les développeurs.

A l'heure actuelle,  4 EPN sont déjà occupés à tester l'application. Il s'agit de l'EPN de Marche-en-Famenne, l'EPN de Dinant, l'EPN d'Yvoir et l'EPN d'Estinnes.

Les premiers tutoriels d'installation et de prise en main de l'application sont en cours de réalisation et nous aurons aussi besoin de personnes pour le rédactionnel de ces manuels.

Rendez-vous donc le 4 mai prochain pour découvrir le programme dans sa première version stable.


L'Orme 2011 (2) : Charlie et le logiciel libre

Aux Rencontres de l'Orme de Marseille, un espace était dédié aux logiciels libres. J'y ai d'abord rencontré Yves Specht, fondateur de l'association Mandr'Aix (antenne aixoise de Mandriva), qui me présenta son GULL (Groupe d'Utilisateurs de Logiciels Libres) et sa carte du réseau libre.

Il y a eu ensuite un intéressant débat sur le logiciel libre entre Jean-Claude Guédon (professeur à l'université de Montréal) et Bernard Lang (cofondateur de l'AFUL).

Selon Bernard Lang, le droit existant est mal adapté à Internet : les juristes devraient être les ingénieurs de la nouvelle société qui émerge, au lieu de vouloir à tout prix transposer des lois inadéquates (lois économiques en particulier). «C'est comme l'eau devenue de la glace, explique-t-il : c'est toujours de l'eau, mais ce ne sont plus les même les lois physiques qui s'appliquent. Il faut donc modifier les outils, sinon ça revient à tenter de pomper des glaçons avec une pompe à bras : ça ne fonctionne pas !  La plupart des juristes ne comprennent pas que leur modèle est obsolète...»



C'est alors qu'intervient Philippe-Charles Nestel, professeur de collège à Aix-en-Provence et membre de l'APRIL. «Le problème, dit-il sur un ton vindicatif, c'est qu'on raisonne toujours par analogie. Or, la révolution numérique est entravée par les règles du droit multilatéral. En fait, la fracture numérique accroît la fracture sociale !» Cette intervention quelque peu elliptique méritait d'être approfondie.  Après la fin du débat, ce brillant orateur - que tout le monde ici appelle Charlie - se prête de bonne grâce à une plus ample explication.

«Il faut revenir aux sources du droit pour comprendre les enjeux. Il y avait d'abord eu les accords du GATT (Accord sur les tarifs douaniers et le commerce) signés en 1947 par 23 pays, qui ont finalement abouti à la création de l'OMC en 1994. C'est là qu'a été signé l'AGCS (Accord Général sur le Commerce des Services), un accord multilatéral de libéralisation des échanges qui remplace le GATT. A partir de là, les accords diplomatiques et internationaux priment sur les droits nationaux des états, notamment les droits sociaux et les services publics. Par exemple, tout ce qui concerne la propriété intellectuelle dépend maintenant de l'OMPI (Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle), une institution intégrée à l'ONU.

Il y a aussi eu l'ACTA, un accord secret entre les «Grands» pays (USA, Japon, UE, Emirats Arabes Unis, Australie, etc. à l'exception de la Chine et de l'Inde). Le but de l'ACTA était d'aboutir à un traité multilatéral sur la contrefaçon, mais ça signifiait le droit de fouiller n'importe quel matériel numérique, et pour tous les fournisseurs d'accès l'obligation de coopérer, autrement dit une restriction terrible de la protection de la vie privée... L'ACTA a été révélé par Wikileaks, mais il ne faut pas se leurrer : autre chose le remplacera.

Enfin, il y a la DRM (Digital Right Management), «Gestion des Droits Numériques» en français. La DRM a été instaurée par Bill Clinton en contrepartie de l'aide que lui avait fournie l'industrie de l'entertainment qui avait massivement soutenu son élection. L'objectif de la DRM, c'est de contrôler l'usage des oeuvres numériques par des «mesures techniques de protection», qu'on appelle, nous, des menottes numériques.

Environ 200 juristes américains se sont élevés contre la DRM, qui instaure des situations de monopole et fausse la concurrence : c'est l'OMPI qui l'a fait passer, via le DMCA (Digital Millenium Copyright Act), une loi américaine étendant la propriété intellectuelle au champ numérique. En Europe, c'est devenu la directive EUCD, en France la loi DADVSI, dont HADOPI n'est qu'une version adoucie.

- D'accord... Mais alors, en résumé, quelles sont les priorités de votre combat ?

- Nous militons pour un logiciel libre livré avec son code-source. Nous sommes contre la brevetabilité des logiciels. Ensuite, pour l'interopérabilité des systèmes, c'est-à-dire contre les menottes numériques : il faut absolument pouvoir contourner les mesures techniques de protection. Et enfin, nous luttons pour trouver un équilibre entre les droits d'auteur et les droits du public. N'oublions pas le sens originel de copyright : «copy is right», c'est-à-dire dans quelle mesure on a le droit de copier. On parle toujours de droits d'auteur, et on oublie les droits du public ! Les multinationales font pression sur les systèmes éducatifs  pour former les gens à n'être que de simples utilisateurs. Ce que nous voulons, c'est que  le plus grand nombre accède à une véritable culture numérique.»

Voir aussi : http://www.ffii.fr/ Association pour une infrastructure informationnelle libre.

Illustration : un pingouin sur un calisson, Linux + Aix = AXUL.

Tags : logiciel-libre

Veille de la semaine

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Tags : veille

Lancement de la plateforme fédérale de médiation numérique : Belmed

Visual Belmed

Selon le dernier eurobaromètre, 48% des personnes interrogées déclarent ne pas envisager d'action si le préjudice subi lors d'une transaction commerciale est inférieure à 200 euros. Cela crée des frustrations et mine la confiance dans le marché des biens et des services.

Dans le même contexte, même si le commerce en ligne en Belgique a enregistré en 2010 de bons résultats, les transactions ne décollent pas vraiment. Il faut pour cela renforcer la confiance des consommateurs...

Comment faire pour y parvenir ? La création d'un instrument convivial qui facilite la recherche d'une solution rapide et peu couteuse pour mettre fin à un litige de consommation peut certainement y contribuer. C'est pour cela que le SPF Economie a mis en place "Belmed", la plate-forme en ligne en matière de règlement des litiges de consommation.

Pour pouvoir proposer ce service, le SPF Economie a conclu un accord de collaboration avec cinq organes de médiation. Il s'agit en l'occurrence du service de médiation de l'énergie, celui des banques-crédit-placements, la commission de conciliation pour les véhicules d'occasion, la commission du contentieux en matière de voyages, ainsi que le centre européen pour le consommateur.

Attentif à ce que chacun ait accès à sa plateforme, le SPF Economie a aussi tenu à nouer des partenariats avec les espaces publics numériques. Ils seront d'ailleurs présents aux Rewics pour présenter leur nouveau service.


Journée d'étude Flora : Le genre, ça vous TIC ? L'insertion numérique à la lumière du genre

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Témoignages et mise en perspective :

  • Quelle place pour les femmes précarisées dans les métiers des TIC ? Par Laure Lemaire (Interface3) et Périne Brotcorne (FTU)
  • Une approche globale et transversale des TIC dans les associations d'insertion est-elle nécessaire ? Par Isabelle Chasse (Lire et écrire) et Isabelle de Vriendt (Flora)
  • Comment favoriser l'utilisation durable des TIC pour les publics en insertion ? Par Adrien Roisin (Collectif des femmes), Martine Eloy (Buurtwerk Posthof) et Anne Snick (Flora)

Inscription valable après paiement de 25EUR au compte 879-2657301-54 avec la communication "Participation Journée Flora + Nom et prénom du participant). Renvoyez le bulletin d'inscription par mail à l'adresse : mariannehiernaux@florainfo.be pour le 27 avril au plus tard.


Tags : conférence

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