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Cela se confirme de plus en plus : les réseaux sociaux deviennent la porte d'entrée privilégiée vers l'information. L'année passée, l'Institut Reuters d'étude du journalisme de l'Université d'Oxford constatait au vu d'une enquête menée auprès de 50.000 personnes dans 26 pays européens que Facebook était utilisé pour ce faire par 44 % des répondants. C'est 4 fois plus que Twitter (10%) et que YouTube (19%), une domination accentuée par le lancement de formats d'affichages adaptés aux smartphones comme les «Instant Articles». Autre constat : 36 % des personnes font confiance aux propositions algorithimiques de classement et de hiérarchisation des contenus tandis que 30 % restent attachés au travail de hiérachisation opéré par les équipes éditoriales «classiques». L'avantage est donc bien en train de passer dans le camp des robots qui trient les flux d'information sur base de leurs propres indices de pertinence des contenus.
Les réseaux sociaux plus populaires que les journaux
Deux autres études qui se penchent sur la façon dont les jeunes s'informent enfoncent le clou. La première, réalisée au Quebec par le CEFRIO (Centre facilitant la recherche et l'innovation dans les organisations) indique qu'Internet constitue la principale source d'information pour 95 % des personnes interrogées dans la tranche d'âge des 18-24 ans. Cette tendance est confirmée en France par l'Observatoire du Webjournalisme qui a mené durant 3 ans une étude auprès des jeunes de la même tranche d'âge. Ceux-ci expliquent accéder à l'actualité de préférence via les réseaux sociaux (73%) plutôt que via les sites d'information. 1000 personnes interrogées indiquent y suivre l'actualité plusieurs fois par jour et 335 une fois par jour.
Infotainment
Mais il s'agit essentiellement d'une actualité de divertissement. Les sélections algorithmiques opérées par le réseau social débouchent sur un mélange d'informations décalées, humoristiques, anecdotiques et spectaculaires. Dans le fil d'actualité, les publications des médias traditionnels se mélangent aux blagues, clins d'oeil et autres canulars. Elles côtoient les fameuses «fake news», ces informations alternatives popularisées par Donal Trump. Les internautes en sont conscients : les informations circulant sur Facebook ne sont pas considérées comme réellement fiables : seulement 18 % des personnes interrogées les considèrent comme telles.
Fastcheck
Facebook, qui a été critiqué pour avoir eu une influence sur les internautes lors des dernières élections américaines en est conscient et travaille à améliorer ses algorithmes pour diminuer le nombre d'informations fausses. En parallèle, elle a lancé l'initiative FastCheck en collaboration avec les médias traditionnels. En france, elle a conclu un accord en ce sens avec l’AFP, BFM TV, France Télévisions, France Médias, l’Express, Libération,le Monde et 20 minutes. Les utilisateurs du réseau social sont invités, s’ils doutent de la véracité d’une news ou d’un partage, à le signaler. Ces alertes sont centralisées et transmises aux médias participant qui vont les analyser. Une fois l’information vérifiée et considérée comme fausse par au moins 2 médias partenaires, Facebook va signaler en bas de l’article par un pictogramme que sa véracité est mise en doute par les Fast-Chekers. En même temps, Facebook va réduire la visibilité de cette publication sur les fils d’actualité. Si l’Allemagne va participer à cette initiative, aucun accord de collaboration de ce type, pour l’instant, n’est actif chez nous.
Un rôle d'éducation aux médias de plus en plus important
On ne peut que se féliciter de cette initiatives. Reste que la circulation de l’information sur les réseaux sociaux fonctionne beaucoup sur le principe du biais de confirmation qui fait qu’on a tendance à sélectionner et à partager les informations qui vont dans le sens de ses opinions et de ses valeurs, et à ignorer celles qui les contredisent. Et donc le risque existe bel et bien que les «faits alternatifs» soient retenus s’ils vont dans le sens de la confirmation de l’opinion des utilisateurs. Comment agir à ce niveau ? Une fois de plus par l’éducation aux médias, une des missions des EPN qui, à l'évidence, est appelée à devenir de plus en plus importante.
Tags : réseaux sociaux
Une des principales recommandations que l'on apprend dans l'utilisation des TIC, c'est bien de faire une copie des données enregistrées. Graveur, disque dur externe, clé usb,... nombreux moyens sont à notre disposition. Même les gsm et les fournisseurs d'abonnements téléphoniques nous proposent soit un logiciel permettant de sauvegarder une copie de nos contacts ou de faire une copie sur un compte en ligne.
Pourquoi est-ce important de faire une sauvegarde ?
La perte de données peut s'avérer déplorable, voir inéluctable, que ce soit à titre professionnel ou privé. Imaginez la perte de toutes vos photos ou articles...
Facebook vous offre aujourd'hui un service permettant de télécharger toutes les données publiées via votre profil.
J'ai tenté de tester le service via mon profil courant, cependant ce dernier à échoué. Pourquoi ? Sans doute parce la quantité de données est trop importante et que je me suis déconnectée avant. J'ai reçu alors un message d'échec m'invitant à relancer la sauvegarde mais celui-ci ne semble plus fonctionner. Peut-être devrais-je attendre quelques jours pour retenter l'expérience.
Cependant, je l'ai testé avec un autre profil que j'avais créé à une époque et comportant beaucoup moins de données et ça a fonctionné.
Une fois la récolte terminée, Facebook vous envoie un mail vers un lien, lequel vous demande confirmer votre mot de passe, ceci par mesure de sécurité. Une fois fait, vous avez accès à un fichier zip que vous pouvez enregistrer sur votre machine.
Ce fichier zip contient tout, vos coordonnées, vos intérêts, vos groupes, photos, vidéos, publications sur votre mur, messages, liste d'amis, etc... le tout classé dans des dossiers par type de fichier. A remarquer qu'il n'est pas possible de choisir les données qui vous intéresse, il récolte tout.
En pratique, rendez-vous dans vos Paramètres du compte où vous trouverez la rubrique "Télécharger vos informations", cliquez sur le lien "En savoir plus" et ensuite sur le bouton "Télécharger".
Une question cependant quant à savoir s'il récolte également les données de vos pages ???
Tags : réseaux sociaux
Récemment un nouveau sujet a été lancé sur le réseau des EPN Wallonie concernant un nouvel outil ou plutôt un module sur la protection des comptes Facebook contre diverses menaces.
Désireuse d'en connaître un peu plus, je me suis rendue sur le site en question et j'avoue avoir été assez septique quant à l'outil, notamment sur le fait de devoir donner son adresse mail pour pouvoir télécharger l'application.
J'ai donc poussé ma recherche pour tenter d'en connaître un peu plus sur son auteur. A ma grande surprise, je découvre que le concepteur est mon voisin puisqu'il habite aussi Mons et que de plus, nous avons un contact en commun sur le réseau social bien connu. Ni une, ni deux, je décide de le contacter pour connaître la raison de devoir obligatoirement s'inscrire.
Après quelques emails échangés, je découvre un passionné de la sécurité informatique. Jean-Baptiste de Clerfayt s'initie en autodidacte à l'informatique depuis son plus jeune âge où il a débuté avec un Commodore 64. Soucieux de connaître les moindres aspects du piratage, les problèmes sécuritaires et plus particulièrement le hacking qui, cela va sans dire, est bel et bien présent sur les réseaux sociaux, il s'est penché sur le problème puisqu'il n'existe, à l'heure actuelle, aucun moyen de se protéger des virus sociaux et nous confie ses réflexions sur les dangers de Facebook dans une petite brochure électronique.
Programmer un outil qui permettrait à tout un chacun de se protéger des malveillants sur Facebook a donc germé dans la tête de Jean-Baptiste pour en arriver à créer Scanbook.
Scanbook, une fois installé dans Firefox, vous renseigne sur ce qui semble être une menace et classe selon le niveau de dangerosité les risques par couleur. Orange pour les menaces potentielles et rouge sur ce qui s'avère être dangereux.
Scanbook est gratuit pendant les 30 premiers jours, puis l'abonnement est fixé à 7EUR par mois avec mise à jour assurée.
Non loin d'être un simple outil puisque reconnut par la Police Fédérale, Scanbook n'en est pas à sa dernière version puisqu'une version 2.0 envisage un système participatif de détection pour les nouvelles menaces et l'élaboration d'une liste blanche des applications que l'on juge comme tout à fait sécurisées.
Après quelques échanges très enrichissant, Jean-Baptiste envisage également la possibilité de pouvoir choisir si l'on accepte ou pas, une application. Après tout, à nous de prendre aussi nos responsabilités. Les utilisateurs pourront juger la dangerosité des applications, des profils, des gens, etc
Pour l'instant il ne fonctionne que sur Firefox mais il est certainement probable qu'on voit naître une version applicable pour IE.
Jean-Baptiste ne compte pas en rester là. Il y a encore beaucoup de pain sur la planche, me confie-t-il. Prochainement une FAQ sera accessible.
Tags : réseaux sociaux - sécurité
Malmédia, EPN de Malmedy (en Belgique) vient de proposer une animation « Internet et vous » dans un collège de la commune dans le cadre d'une sensibilisation à l'internet responsable et à l'éducation au multimédia. Cette activité a été menée en partenariat avec Infor-Jeunes Malmédy (structure d'information jeunesse de la ville).
A cette occasion, il a été réalisé une enquête anonyme auprès des élèves sur leurs équipements, pratiques internet et en mode connecté mobile (téléphone portable) - téléchargeable ici en pdf - avec des résultats éclairants récapitulés sur cette fiche (au format pdf) ; 101 jeunes de 13 ans ont été interrogés :
On peut en découvrir plus l'action de l'Espace Public Numérique de Malmédy en consultant l'article : Animation "Internet et vous" réalisée à l'Athénée de Malmedy.
(Via Kevin Diffels - EPN de Malmedy)
Article provenant du site Netpublic posté par JL Raymond sous CC
Tags : école - éducation - EPN - jeune - mobilité - réseaux sociaux - Usages
D'après un article de Marie Meurisse du 10 septembre 2010 paru dans Le Temps
Utiliser les réseaux sociaux du Web pour enseigner? Demander aux élèves de faire leurs devoirs sur Twitter? De Paris à Sierre, les enseignants lancent des idées inédites. Horizons
Quand Laurence Juin donne des consignes à ses élèves, elle envoie un message instantané via le réseau Twitter. «Rédigez un tweet présentant votre futur lieu de stage». «Je serai au service logistique d'une industrie», répond immédiatement l'un d'entre eux sur le «mur» virtuel de la classe. Au lycée professionnel de Pierre Doriole (La Rochelle, France), la rentrée scolaire ne respire pas seulement les cahiers et crayons. Le savoir s'y transmet aussi par ordinateur, sur les réseaux sociaux.
«Au début, j'étais amie sur Facebook avec mes élèves, explique Laurence Juin, 36 ans, qui enseigne le français, l'histoire-géographie et l'éducation civique. Mais cela mélangeait trop ma vie privée avec ma vie professionnelle. Et quand mes élèves ont compris que je voyais leurs photos de soirées arrosées, ils m'ont supprimée de leur liste... Comme j'utilisais moi-même Twitter, je les ai alors fait travailler dessus. Depuis l'année dernière, c'est un vrai succès!»
En classe, ces apprentis maturistes commentent textes et images par petites phrases, en 140 signes, selon le principe du fameux site de micro-blogging. À la maison, ils débattent en ligne avec leurs camarades d'une émission télévisée ou d'un livre. Même s'ils respectent une charte d'utilisation très stricte, ces adolescents sont conquis par la modernité de la méthode. «Nous faisons un travail collaboratif et mutualisé, ajoute leur professeur. Ainsi, ils deviennent acteurs et non pas consommateurs du cours».
Pionnière, Laurence Juin a interpellé et fasciné le monde enseignant. Son approche est-elle démagogique? Anecdotique? Ou médiatique? Pourtant, d'autres expériences du même type se rapprochent de sa sympathique communauté Twitter. En France toujours, à Lyon, le professeur de gestion Jean-Paul Moiraud a développé un blog participatif avec ses étudiants. À Lille, François Jourde enseigne la philosophie sur Twitter. Sur le même principe, d'autres pédagogues privilégient sites ou blogs.
Il existe peu d'études sur le sujet. Et les rares spécialistes sont loin de crier au scandale. Audrey Guilbaud-Varachaud, professeur à Bayonne, mène par exemple une étude sur ce type de pédagogie. «Les élèves jouent le jeu et sont demandeurs. L'apprentissage des dates en histoire devient ludique, mais tout aussi efficace. La publication numérique permet en outre de mettre en valeur leur travail». «En passant par l'écrit, les élèves améliorent leur mode d'expression. Ce qu'ils mettent en ligne est entièrement public, ils réfléchissent donc également à leur identité virtuelle et à leur vie privée. Et puis inconsciemment, cette réflexion collective renforce la cohésion, crée une identité de classe et d'établissement. Comme du team building!», approuve Julien Llanas qui est, à Créteil, chargé de mission sur l'utilisation des nouvelles technologies dans l'éducation.
En Suisse romande, Lyonel Kaufmann sera le premier à adopter Twitter dans un cadre scolaire. D'ici début 2011, ce professeur d'histoire à la Haute école pédagogique du canton de Vaud fera travailler ses élèves sur le site. Son modèle? Le projet mis en place l'année dernière à l'université de l'Utah (Etats-Unis). «En 48 heures, onze étudiants ont reconstitué sur Twitter la bataille de Gettysburg, dit-il. Chacun devait endosser le rôle d'un des personnages, dont celui de Lincoln. Pour cela, ils ont dû reconstruire les faits, trouver des informations et les synthétiser... Très intéressant! Avec des collègues, nous allons donc développer un nouveau scénario en français».
Lyonel Kaufmann, blogueur émérite et fan des nouvelles technologies, est l'un des rares Suisses à faire entrer, pour l'instant, les réseaux sociaux sur les bancs de l'école. Jacques Daniélou, président de la société pédagogique vaudoise: «Il y a une méfiance généralisée sur cette question. Certains collègues ont été la cible d'injures publiées sur des blogs d'élèves. D'autres ont accepté leurs étudiants comme amis sur Facebook et s'en sont mordu les doigts. Parfois, il y a un mélange des genres un peu regrettable. Malgré cela, ce n'est pas une raison pour tout diaboliser.»
«Je crois que de nombreux professeurs craignent ce qu'ils ne connaissent pas», note François Flückiger, enseignant détaché au Centre de ressources interjurassien. «Il faut que l'école s'intéresse à Facebook afin de prévenir les dérapages et éduquer les élèves. Ceux qui s'y refusent peuvent utiliser educanet, un outil communautaire gratuit et moins risqué que les réseaux sociaux classiques».
En Suisse, nombre de professeurs optent pour cette alternative. Ou pour de simples blogs ainsi que des wikis - des sites modifiables par tous les utilisateurs. François Lombard, chargé d'enseignement en biologie auprès des professeurs du secondaire à Genève, utilise ces wikis depuis plus de sept ans. «Mes élèves vont chercher et trier des informations, qu'ils mettent ensuite dans le wiki pour nous les faire partager. Ils produisent leur propre savoir! Cela remet totalement en question le rapport maître-élèves. Celui qui enseigne n'a pas la science infuse, puisque les étudiants eux-mêmes sont porteurs de compétences et d'idées. 90% de ce qu'ils apprennent ne vient pas de moi».
Bel horizon. Les professeurs engagés sur ces voies insistent tout de même sur le fait que ce genre de dispositif suppose de cadrer rigoureusement les élèves (souvent au moyen d'une charte) et d'être souvent disponible, y compris le soir, pour corriger les fautes, donner les instructions, rappeler à l'ordre et vérifier le contenu du blog. La «pédagogie embarquée», comme les spécialistes l'appellent, dépend de l'engagement bénévole de l'enseignant...
Car les enseignants, eux aussi, ont une vie privée. Et s'ils n'utilisent pas Facebook en classe, ils s'en servent souvent pour garder contact avec leurs anciens élèves. Pascal Rey, enseignant de troisième primaire à Sierre, refuse les demandes d'amitié virtuelle de ses élèves de dix ans. Par contre, il est ravi de garder contact avec les enfants qu'il a connus il y a dix ou vingt ans. «En tant qu'enseignant, je me préoccupe de l'avenir de tous mes élèves. Sans Facebook, je les aurais perdus de vue. Alors que là, j'ai retrouvé ceux des anciennes volées avec beaucoup de bonheur. Je sais quel diplôme ils ont, où ils vivent... Comme on dit: loin des yeux, près du coeur».
Tags : enfant - enseignement - réseaux sociaux - Twitter
Tags : identité numérique - Internet - réseaux sociaux - vie-privée
Dans le cadre de la Semaine Numérique, l'EPN Le Fil de l'Estinnes a organisé une journée consacrée à l'emploi. Cet atelier ne consistait pas à donner des solutions toutes faites mais plutôt d'offrir des pistes, des idées et outils pour qui souhaiterait se démarquer. Accessible à tous, il s'adresse à toutes les disciplines confondues, que ce soit manuel ou intellectuelle et à tous les âges. Libre à chacun d'en tirer ce qui lui convient.
Introduction
Internet n'est pas une solution en soi mais doit permettre de compléter une candidature traditionnelle, qu'elle soit spontanée ou pas.
Rechercher un emploi sur Internet motive et encourage plus activement que par voie classique. Déjà le prix est moins coûteux mais il est également plus facile de trouver nombreuses informations sur son corps de métier. Les opportunités sont également multipliées et répondent plus facilement au profil souhaité. La Toile permet aussi d'avoir des soutiens, surtout dans les forums où les intervenants suscitent à ne pas abandonner.
Les recruteurs usent de plus en plus d'Internet pour établir une liste d'employés potentiel qui est un complément au CV papier. Il devient donc indispensable d'avoir une visibilité sur la Toile.
Si j'ai deux candidats en face de moi, l'un avec des articles sur Google et l'autre non, mon intérêt va être fortement tourné vers le premier. [Un recruteur]
Il est donc évident que, petit à petit, la candidature traditionnelle tend à disparaître au profit d'une visibilité en ligne et qu'une candidature sera plus facilement retenue sans pour autant léser les compétences, évidemment. Il ne faut pas pour autant proscrire la candidature papier mais elle pourrait servir d'ouverture ou encore se démarquer en envoyant les deux versions (mail + courrier papier).
Des Outils
Les tests
Avant toutes choses, avoir une réflexion sur soi et sur ses objectifs professionnels et personnels aident à mieux s'exprimer et à "se vendre" et ainsi, répondre aux attentes des recruteurs.
Les outils ne manquent pas sur Internet pour s'auto-évaluer, ainsi Cadremploi met à votre disposition gratuitement des tests différents comme faire le bilan de votre personnalité, éviter les pièges et trouver des solutions en testant votre personnalité au travail, ou encore trouver votre voie.
Tester ses connaissances et aptitudes professionnelles sur Evalio regroupe nombreux tests dans différentes discipline.
Tootest est un site entièrement consacré aux évaluations en ligne : QI, personnalité, évaluation, orientation, etc...
Cadreonline regroupe des tests qui vous permettront de mieux orienter vos recherches et d'aborder en toute confiance les épreuves du recrutement.
Bien que le site semble à première vue obsolète, il n'en reste pas moins intéressant puisqu'il regroupe une nombreuse série de tests d'orientation classés par thème.
Pour les étudiants, Studyrama met à disposition un test d'orientation, ainsi que Letudiant.fr basé plus sur des tests d'orientation d'étude. Quant à Lesmetiers.net, il répertorie les métiers où vous pouvez faire vos propres recherches par mot-clé, vous balader dans l'univers virtuel des métiers ou découvrir des professionnels en vidéo
Serious Games
Certains serious games sont également très pratiques pour tester ses connaissances comme celui de L'Oréal visant à faire découvrir la marque aux futurs coiffeurs via plusieurs mises en situation destinées à vérifier les connaissances des étudiants.
Neo Job-Meeting a créé un salon de recrutement au sein de l'univers de Second Life, un moyen original de réunir recruteurs et candidats potentiels dans un univers ludique. Fort de leur succès, ces rencontres s'effectuent de plus en plus régulièrement et permettent aux candidats de dialoguer avec les recruteurs lors d'un entretien privé et de connaître les opportunités des entreprises présentes.
Les générateurs et modèles de lettres et de CV
Tout d'abord, un tutoriel complet, présentant toutes les étapes, les pièges à éviter, et les meilleurs modèles à utiliser pour créer le meilleur CV possible.
Lettre-de-motivation.fr offre des lettres de motivation en français, anglais et espagnol, des modèles de CV mais également des pages de conseils pratiques d'aide a la recherche d'emploi (méthodologie, conseils, exemples, tableaux de synthèse)
MobaMotiv est un utilitaire gratuit qui génère des lettres de motivation en fonction de votre profil préalablement définit dans un formulaire à remplir. Directement exécutable, aucune installation n'est requise et peut être utilisé depuis une clé usb.
Le Courrieur génère lui aussi des lettres de motivation, à la différence que cela se fait directement en ligne. Vous pouvez choisir vos modèles selon les circonstances : candidature spontanée, estivales, etc... Un plus : il réalise également vos enveloppe avec 2 formats au choix.
Abc-lettres ne génère pas de lettre mais offre des modèles pour différentes circonstances : acceptation d'un rendez-vous, candidature après contact, stages, etc...
5 sites pour créer des CV gratuits en ligne
Correcteurs orthographiques
L'orthographe et la grammaire sont des choses essentielles à respecter surtout lors d'une correspondance professionnelle. Bien que les outils proposés ci-après ne soient pas fiables à 100 %, ils peuvent tout de même être utiles et éviter des catastrophes.
Bonpatron et Retourneaucm1 vous permettent de taper votre texte dans le champs adéquat ou de faire un copier/coller pour ensuite lancer la vérification.
Vous pouvez également faire des vérifications dans la plupart des logiciels de traitement de texte ou encore dans les différents navigateurs tels que Firefox dont l'outil est intégré automatiquement.
Tester son CV
Jobetic offrait un très bon service qui permettait de tester son CV en ligne. Malheureusement, et j'ignore les raisons, ce service a fermé ses portes pour donner des conseils à la place. Je n'ai rien pu trouver de similaire mais n'hésitez pas à me communiquer vos trouvailles.
D'autres sites proposent également des conseils que vous trouvez sur les différents liens de cet article.
Des portails et sites conseils
Postuler efficacement par mail, se poser 23 questions essentielles, Découvrir Cinq clés pour trouver un emploi, concevoir un e-CV, Recherche d'emploi sur Internet : Sur quel site et de quelle façon peut-on espérer avoir du travail via Internet ?, les 7 conseils pour une bonne présentation en public, Réussir le CV gagnant de la série "Les vidéos du succès", La Net réputation et l'embauche, De quoi je me mail ?, Le Réseau est au coin de la rue..., Les Outils en ligne, Les trucs et astuces CV et lettres de motivation... du Blog emploi d'Insertion Vincent ou encore les techniques de sioux de recherche d'emploi jusqu'au stress au travail, apprendre à gérer son temps de travail et développer un mieux-être professionnel, sans oublier redaction.blog.regionsjob.com, ou encore l'e-book Trouver un emploi par le web. Les ressources sont illimitées et ces derniers ne représentent qu'une infime partie de ce qui existe sur le Web.
Très bons sites également et purement belge : Le P'tit Routard de l'Emploi et Jobcom, une création de l'UVCW (Union des Villes et des Communes de Wallonie) qui centralise les offres issus des pouvoirs locaux où il est préférable de s'abonner au flux rss vu les nouvelles qui arrivent assez fréquemment.
Nombreux sont les conseils mais il est important aussi de connaître les erreurs à ne pas commettre ou encore changer de job.
Voir et être vu
Les sites d'emploi et les réseaux
Certains sites et réseaux sont spécialisés pour l'emploi, lesquels vous permettent d'être visibles aux yeux des recruteurs en publiant votre profil professionnel, vos coordonnées et vos desiderata à la vue des recruteurs et les réseaux ont cette particularité de pouvoir être en contact direct avec d'éventuels embaucheurs dans les domaines qui vous correspondent.
Viadeo, LinkedIn, et Xing sont les réseaux sociaux professionnels les plus fréquentés mais il en existe d'autres comme Huzz.com, Jobmeeters ou Beboomer dédié aux plus de 45 ans. Autre alternative, Facebook vous permet de poster votre CV via l'application My Resume, connu également sous le nom de RecommendMe. Vos contacts penseront ainsi à vous si un job vous correspond.
Les sites couvrant la Belgique sont évidemment :
Plus accès sur la France, les sites suivants peuvent toutefois intéresser certains :
Pour les recherches à l'étranger :
Les petites annonces
La plupart des quotidiens ont leur rubrique Emploi, en voici quelques-uns regroupés sur Internet :
Les Agences Interim
Plutôt que de voyager d'agence en agence, faites-vous connaître via leur site
Tags : Internet - métier - réseaux sociaux
Vous désirez créer une page perso sur Internet mais vous n'avez pas besoin d'un blog ou d'un site. Une simple page vous suffirait.
Flavors.me vous offre cette possibilité et vous permet en quelques clics de configurer votre page. Que ce soit un curriculum vitae, une page qui centralise vos données ou encore une carte de visite, tout est possible via ce microblogging.
Donnez un titre à votre page, comme par exemple vos nom et prénom. Dans la première étape, présentez-vous en quelques lignes après quoi, insérez vos blogs et réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter ainsi que vos flux ou vos photos Flickr.
La dernière phase consiste à réaliser le design de votre page en choisissant une disposition, un background que vous pouvez télécharger de votre disque dur ou une couleur unie. Les polices de caractères sont limitées en nombre mais la gamme présente toutefois assez de styles différents pour y trouver votre compte. Changez leur taille à votre goût et enfin, optez pour une gamme de couleurs, lesquelles peuvent être modifiables à votre convenance.
En phase Beta actuellement, vous devez vous procurer un code d'accès que vous recevrez par mail. Pour l'obtenir, il vous suffit de renseigner votre Email en page d'accueil et de cliquer sur Notify me. Pour ma part, je l'ai obtenu assez rapidement puisqu'il a fallu moins de 12 heures.
En manque d'inspiration, il vous est loisible d'aller visiter la galerie qui ne manque pas d'attraits et de styles différents ou encore consulter les feedbacks des utilisateurs. Vous trouverez ma page perso à cette adresse.
Tags : réseaux sociaux
Il y a quelques jours, l'équipe des animateurs EPN, petit groupe très actif s'activant de plein fouet en coulisses, nous présentait cet excellent article sur Google Buzz, le nouveau service Google : Google Buzz, l'apport du social dans le Webmail
Google Buzz remporte un vif succès puisqu'il est directement intégré au service de messagerie Gmail sans devoir installer quoi que ce soit. Un seul clic suffit pour adhérer ou pas au service.
Google Buzz semble à première vue manquer d'outils, c'est pourquoi je vais tenter de vous présenter ici, quelques astuces supplémentaires trouvées ça et là, afin de profiter pleinement du service.
Les plugins
Selon le navigateur que vous utilisez, il vous est possible d'installer une extension pour y intégrer Buzz.
Ainsi pour Chrome, Chrome Buzz vous donne accès à vos Buzz sans devoir passer par Gmail. | |
Pour Firefox, c'est Buzz it qui vous permettra de partager directement vos liens visités. Buzz it utilise un service raccourci pour vos liens. Une fois installé, rendez-vous dans Affichage/Barre d'outils/Personnaliser et glissez/déposez le logo Buzz dans la barre des tâches. | |
Pour votre blog Wordpres, le plugin Buzz, une fois installé, affichera dans chaque article le bouton Buzz This pour le partage direct. |
Les TwitterKeys
Les TwitterKeys sont des caractères spéciaux utilisables sur Twitter. Ce sont des symboles qui peuvent s'avérer pratiques pour remplacer un mot pour limiter le nombre de caractères. Les TwitterKeys peuvent également être utilisés dans sur Buzz.
Pour ce faire, copiez/collez le symbole que vous désirez ajouter via TwitterKeys ou glissez Caractères spéciaux dans votre barre personnelle de marque-pages.
Mise en forme
Une mise en forme est toujours plus plaisante qu'un texte brut. Trois mises en formes peuvent être appliquées. C'est peu mais c'est mieux que rien.
Gras : pour mettre en gras, placez votre mot ou phrase entre deux (*)
Italique : votre mot ou phrase doit être placé entre deux (_)
Barré : même principe que pour les 2 autres mais avec (-)
Trait d'union : Si vous écrivez le mot Rendez-vous, il s'affichera sans trait d'union : Rendezvous. Pour afficher correctement ce mot avec le trait d'union apparent, doublez-le. Ainsi on écrira Rendez--vous pour obtenir Rendez-vous.
RSS
Il vous est possible de suivre un profil via le rss. Google ayant intégré le service, procédez de la même manière qu'un site ou un blog pour ajouter les flux dans votre outil de veille qui se trouve dans la barre d'adresse.
Importez vos followers Twitter
Tw2buzz est un service qui vous permet de retrouver tous vos contacts Twitter ayant un compte Gmail et uniquement ceux-là.
Authentifiez-vous avec votre compte Twitter
Une fois que vous avec autorisé le service à accéder à votre compte Twitter, il vous donnera la liste des personnes se retrouvant sur Gmail et Twitter en même temps. A vous de sélectionner les personnes que vous voulez ajouter à Google Buzz.
Tw2buzz est pour l'instant en version beta, il faut donc se procurer un code d'activation que je n'ai pas pu encore obtenir mais cela ne saurait tarder.
Widget pour site et blog
Buzzcounter va vous permettre de créer un widget pour votre site ou blog. Sur Buzzconter.net, insérer dans le champ l'url de votre profil Google qui est disponible en bas de la page de votre profil, cliquez sur Widget it ! Il suffit ensuite de copier-coller le code dans votre page.
On peut constater sur la page Buzzcounter qu'un compteur verra prochainement le jour.
Les moteurs de recherche
Buzzzy est en pleine phase de développement, ce moteur de recherche spécial buzz vous permet de trouver par le biais de mots clés les buzz les plus répandus et leur auteur. Il est possible d'affiner sa recherche dans le temps (par heure, jour ou semaine), par source (Buzz, Twitter, Google Reader, Mobile et autres sites sociaux), ce qui pourrait permettre de belles statistiques, ou encore par type de média (images, vidéos, liens).
Trendsbuzz, quant à lui, regroupe en temps réel et sur une même page, les actualités les plus répandues du moment venant de Twitter, Google Trends, Yahoo, Buzz et New York Times, ce qui donne une belle vue d'ensemble sur une même page.
Et on en est qu'au début...
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