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Veille des EPN de Wallonie

Tags : veille

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Un programme de formation pilote à destination des jeunes en décrochage (NEET's) coordonné par Technofutur TIC

C'est le jeudi 23 avril dernier, dans le cadre de la semaine numérique, que le désormais traditionnel colloque sur la fracture numérique s'est tenu au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Au programme de cette année, 3 thématiques : l'école numérique, le passeport TIC et l'intégration et l'inclusion des Neet's, ce dernier projet impliquant 4 EPN de Wallonie.

 

Parcours pilote d'insertion

L'expression vient d'Angleterre. Les Neet's (Not in education, Employment or training), ce sont ces jeunes, âgé de 15 à 24 ans, qui échappent à toute filière d'insertion et de formation. On estime à 30.000 en Wallonie ces jeunes en situation de désafiliation. Avec l'appui de la cellule Citizenship de Microsoft, Technofutur TIC lance à leur égard un projet pilote de parcours de formation articulé autour des TIC. L'objectif ? Que 4 EPN, ceux de Louvain-la-neuve, Boussu, Huy et Verviers, sensibilisent et redonnent confiance à 300 jeunes via une formation informatique.

 

Redonner confiance

C'est en 2012 que Microsoft a lancé un programme d'accompagnement de la jeunesse baptisé YouthSpark. Déployé en partenariat avec les pouvoirs publics et les tissus associatifs locaux, il a pour objectif, à travers une formation IT basée sur les outils de l'éditeur américain, de redonner confiance aux jeunes dans leur démarche de recherche d'emploi et/ou de formation. Microsoft a ainsi monté des projets de formation pour jeunes demandeurs d'emploi avec des organismes comme Bruxelles Formation, COF Belgique ou encore CDO Spoor 5 Mechelen. Après avoir pris contact dans le même sens avec le Forem, et plus spécifiquement avec Bernard Asbrouck, chercheur à l'ULB spécialisé dans cette question de la désappartenance et Conseiller Général au Forem, Bruno Schröder, le responsable belge du programme Youthspark, a pris langue avec Technofutur TIC pour un projet pilote de parcours de formation qui passera par les EPN. C'est une première, qui pourrait déboucher sur un plan plus vaste.

 

Des parcours de formation dans 4 EPN

Eric Blanchart, Chargé de mission EPN de Wallonie : "Dans le montage du projet, les EPN de Boussu, Huy, Louvain-la-neuve et Verviers ont été choisis pour le travail social qu'ils avaient déjà mené auprès des jeunes et pour les indicateurs régionaux qu'ils vont pouvoir fournir. Le but est de toucher 300 jeunes, 75 par EPN. Ils vont passer pour la prise de contact par des partenaires locaux comme les animateurs de rue, les SAS (Services d'Accrochage Scolaires), les CEFo ou les MIRE (Missions Régionales pour l'Emploi). Idéalement, il s'agit d'en intéresser 50 par structure à suivre un parcours de formation TIC. Sur ce groupe de 50 jeunes que chaque EPN va former, nous voudrions qu'au moins la moitié d'entre eux fasse l'entièreté du parcours. Donc, au terme du projet pilote, nous aurions une centaine de jeunes capables de se réintégrer dans une filière de formation. »  Si l'expérience aboutit et que les EPN s'avèrent constituer une bonne structure pour l'accueil et l'accompagnement des jeunes en décrochage, un appel à projet plus large pourrait être lancé l'année prochaine, dans un cadre européen.

 

Tags : alphabétisation numérique - e-inclusion - formations

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IncubHacker de Namur: un savoureux cocktail d'informatique, d'électronique, de créativité et de bonne humeur

C'est pour retrouver l'ambiance qui existait dans les clubs informatiques des années 80 que 4 personnes passionnées ont donné naissance au Hackerspace de Namur. Le plus difficile a été de trouver un local à un prix raisonnable. Ils le loueront à la SNCB. Aujourd'hui, l'ASBL compte une cinquantaine de membres. Tous les jeudi, une quinzaine d'apprentis bricoleurs donnent naissance ici à un robot suiveur de lumière, là à une quadcopter, « from scratch ». Au hackerspace de Namur, on s'amuse en acquérant des maîtrises robotiques et électroniques . On mise sur la créativité et le partage d'expérience. Gil Damoiseaux, le président de l'ASBL : « C'est un espace de rencontre et de création interdisciplinaire. Le fonctionnement est basé sur le partage de connaissances telles que l'électronique, l'informatique ou les arts numériques. Mais le hackerspace ne se limite pas nécessairement à ces domaines. Notre but est de rassembler des personnes créatives motivées par des projets technologiques communs. »

Robot suiveur de lumière

Chaque semaine l’ASBL organise deux réunions en soirée afin d’échanger, d’apprendre, de construire et de collaborer sur des projets variés.  L'Incubhacker sort parfois de ses murs, pour animer un stand au salon de l'innovation ou pour participer au festival international du digital de Namur, le Kikk. A chaque fois, Nino, le robot suiveur de lumière, a son petit succès. « C'est un projet parmi d'autres. Chacun vient pour faire ce qu'il veut. Il suffit de payer sa cotisation (10 € par soirée, ou 80 € par trimestre) pour avoir accès aux outils et au matériel. La ville nous soutient. Nous avons reçu une subvention de 2100 € l'année dernière et on espère recevoir la même chose cette année. » Le Hackerspace s'inscrit dans un réseau plus large d'animations numériques, avec des contacts avec le café numérique, le repair café, l'espace de Co-working de Namur ou encore le Trakk, un lieu assez similaire au Hackerspace, mais plutôt orienté professionnel avec des équipements plus lourds comme des fraiseuses numériques ou des imprimantes 3D.

Drone domestique conçu de A à Z

L'accent est mis sur le partage des connaissance pour une maîtrise complète de l'ensemble des composants. Gil Damoiseaux : « Voilà plus d'un an maintenant que certains de nos membres travaillent sur des quadcopters. Le montage s'effectue from scratch. On part de rien pour aboutir à un drone opérationnel. Celui de l'un de nos membres vole déjà. Deux autres sont encore sur le banc de test mais cela avance bien. Le but est de s'amuser sur des projets dont on acquière la maîtrise. Deux autres de nos membres ont créé une graveuse, une ergodécoupeuse, à partir de lecteurs de disquettes. On travaille pas mal avec du matériel de récupération. Le résultat est impressionnant. La graveuse a une zone de découpe de 5 cm sur 5cm. La précision est incroyable : ils ont pu graver le loGo de notre Hackerspace à l'intérieur d'une coquille de pistache !

Tags : culture numérique - Fab Labs - Makers

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Inclusion numérique : les EPN dans le comité de suivi de projet d'IDEALIC

Le projet de recherche IDEALIC est porté conjointement par la Fondation Travail-Université et par SMIT. Son propos est d'explorer de quelles manière des politiques et des initiatives en matière d'e-inclusion peuvent fournir des solutions face aux nouveaux mécanismes d'exclusion qui se mettent en place avec le « virage numérique ». Ce projet sur 4 ans prévoit une série de workshops dans les années 3 et 4, pour lesquels le réseau des EPN sera sollicité.

 

Contact avec les acteurs de terrain

Gérard Valenduc, professeur invité à l’UCL et à l’UNamur, directeur de recherche à la Fondation Travail-Université : « Eric Blanchart est dans le comité de suivi du projet, de même que Stephan Platteau pour la coordination bruxelloise CABAN et Laure Van Hoecke pour LINC en Flandre. Nous avons par ailleurs demandé au réseau Wallon des EPN d'alimenter le blog et l'agenda du site d'Idealic, et nous comptons bien sûr sur eux pour le travail prévu avec les acteurs de terrain. « 

 

Bilan des propositions existantes en matière d'inclusion numérique

Le budget alloué par la Politique Fédérale (Belspo, dans le cadre du volet « Digital Turn » de son programme Brain-Be) est d'environ 320.000 € pour chaque équipe de recherche, plus un petit complément pour SMIT pour la coordination. Gérard Valenduc : «On prévoit pour la première année une réévaluation approfondie de certains concepts dont nous pensons qu’ils sont en train de changer de nature, comme le concept d’inclusion numérique, d’exclusion numérique, leurs liens avec l’inclusion/exclusion sociale, la notion d’autonomie par rapport aux usages du numérique et l’évolution de cette notion tout au long du parcours de vie, la notion de compétences numériques. Nous allons également effectuer une analyse statistique secondaire des données belges de l’enquête Eurostat sur les usages des TIC par les individus et les ménages, de manière à aller au-delà des statistiques descriptives et à hiérarchiser les facteurs d’exclusion numérique. » Les chercheurs réaliseront également un bilan des propositions existantes en matière de politique d’e-inclusion au niveau national et régional, à ce stade, essentiellement à partir des travaux antérieurs de SMIT et FTU.

 

Réfléchir aux mécanismes d'exclusion

Les deux équipes de recherche vont également tenter de répondre à cette question : les institutions qui conçoivent des services numériques réfléchissent-elles anticipativement aux mécanismes d'exclusion numérique ? Et dans quelle mesure mettent-elles en œuvre des actions pour s'assurer que tous les citoyens peuvent utiliser leurs services numérisés de façon autonome ? Ces questions seront réalisées à travers 3 études de cas à réaliser auprès de service de mobilité, de service de santé et du portail Brussels.be

 

Tags : égalité numérique - agence conseil du numérique - fracture-numérique - inclusion numérique

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Les chiffres des EPN de Wallonie pour 2014

Chaque année, et cela fait partie des obligations que les EPN de Wallonie ont par rapport au Label, une évaluation est demandée à chaque structure appartenant au réseau. Voici les chiffres représentatifs du réseau des EPN de Wallonie pour 2014. On observe que ces derniers restent stables par rapport aux années précédentes : le nombre d'EPN augmente et vient compenser le nombre d'EPN qui connaissent des difficultés, les chiffres d'ouverture et de nombre de machines à disposition restent également similaires, par contre le nombre d'accès en EPN augmente légèrement ce qui prouve encore une fois tout l'intérêt de l'usager pour ce genre de lieu. La nouveauté cette année, c'est le type de public que les EPN accueillent en priorité. On constate que les seniors et les personnes émanant du CPAS sont des publics prioritaires pour les EPN.

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Framasoft veut "Dégoogliser" Internet

Des alternatives crédibles et libres à Gmail, Doodle, You Tube, Skype ou Facebook : c'est l'ambition du plan "Degooglisons Internet" de l'association française Framasoft. Il s'étend sur 3 ans et prévoit, à côté des services existants FramaPad (l'équivalent de Google Docs) et FramaDate (version libre de Doodle), d'ajouter un réseau social, un espace de stockage de documents et une messagerie libre en ligne. Et plus si affinités ! "L'année dernière", explique l'association sur son blog, "nous avons dégooglisé Framasoft. Comme monsieur et madame tout le monde, au fil des années, nous nous étions laissé séduire par la facilité immédiate des services proposés par la deuxième capitalisation boursière au monde. Nous avons montré qu'une structure aussi complexe que Framasoft peut se libérer de Google Groups, Analytics, ainsi que d'Adsense et les services embarqués, et ce grâce aux dons et participations bénévoles."

 

Les GAFAM omnivores

C'est qu'en quelques années, le géant de Mountain View est passé de simple moteur de recherche à un inventaire à la Prévert qui propose ici une suite bureautique, là un magasin d' applications ou un espace de stockage sur le Cloud. Sans compter la kyrielle de brevets sur les téléphones, l'électronique, la robotique ou les technologies du vivant. Et il n'est le seul. « Google n'est qu'une lettre des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) qui, avec Dropbox, Avaaz ou Twitter, ont réussi à rendre les internautes complètement dépendants de leurs services."

Services libres, éthiques, décentralisés et solidaires

Or des alternatives existent bel et bien. Aujourd'hui, l'ambition de Framasoft est non seulement de les faire connaître mais de prendre en charge le développement de services libres, éthiques, décentralisés et solidaires, sous la bannière du plan "Dégooglisons Internet" : "Nous allons améliorer nos services existants, tout en faisant perdurer nos projets-phares. Nous avons lancé officiellement le réseau social libre Framasphère pour qui souhaite se libérer de Facebook. Nous allons proposer un moteur de recherche, un service de raccourcissement d'URL, des catalogues d'ebooks libres, de l'hébergement d'images." Endéans les 3 ans, l'association compte proposer tout liste complète de services libres : stockage, Cloud, hébergement de fichiers, tube vidéo, listes de diffusion, micro-blogging et blogs.

 

S'attaquer à Gmail

Courant de cette année, Framasoft proposera Framatalk pour Skype et Framadrive pour Dropbox. En 2016, ce sera au tour de Scribd d'être visé avec Framaxxx (PDFy) ou encore Twitter avec Framatweet (Twister). Et en 2017, l'association devrait s'attaquer à de gros « poissons » comme Gmail avec Framamail (Caliop) ou encore Evernote avec Framanotes (Laverna). Pour ce faire, l'association lance un appel aux dons. L'objectif ? Pérenniser les 3 emplois permanents actuels (il lui manque 35 000 euros) avec l'ambition de passer à 5 permanents en 2016 (il lui faut 130.000 €) et 8 en 2017 (180 000 €).

 

2,27 secondes du CA de Google

Des montants tout à fait dérisoire par rapport à la force de frappe de Google : actuellement, le budget annuel de Framasoft représente 2,27 secondes du chiffre d'affaires annuel de Google. "Rien qu'avec cela, on accomplit déjà beaucoup. Des associations utilisent Framapad pour écrire leurs documents sans avoir à s'inscrire sur GoogleDocs. Des militants et syndicats ont compris que Framadate permet d'avoir un "Doodle" non intrusif. Des écoles initient en toute sécurité leurs élèves au dessin assisté par informatique. Ces projets existent grâce à des volontés bénévoles soutenues par une association qui leur donne les moyens d'éclore, de se développer et de perdurer. Nous avons besoin que des "geek-friendly" viennent grossir nos rangs et nous soutenir par leur argent, leur temps, leur partage des compétences."

Tags : Internet sans crainte - Logiciels Libres - Google

Autour du Libre, quels enjeux pour les associations en Belgique ?

D'un côté et bien que nombreuses et dynamiques, un click sur Hackeragenda devrait vous en convaincre, les associations belges gravitant autour de la notion de liberté numérique semblent se connaître assez peu entre elles. De l'autre, des associations plus ancrées dans le paysage socio-culturel sont de plus en questionnement face à l'enjeu sociétal d'une informatique plus citoyenne. Ce double constat s'est imposé à l'ASBL Abelli (Association Belge promouvant le Logiciel Libre) après l'organisation des RMLL 2013 qui avaient pour objectif la mise à disposition d'un lieu d'échanges entre utilisateurs, développeurs et acteur du Logiciel Libre.

 

Pour la liberté logicielle

Forts d'une dynamique de confiance induite par le succès de ces RMLL, les militants du libre d'Abelli ont aujourd'hui pour ambition de développer, à leur échelle, un réseau d'échanges entre les différents acteurs concernés par les libertés numériques, l'Open Data, la neutralité du Net et toute association interpellé par ces questions. Marc Van Craesbeeck, administrateur Abelli : «La présence croissante de l’informatique dans toutes les sphères de la société transforme en profondeur nos comportements : nos modes de communication, nos loisirs, ou plus largement notre vie citoyenne. L’informatique est ainsi devenue en quelques années un des socles structurant de notre société. Elle repousse de nombreuses frontières, ouvre de nouveaux champs d’intervention tout en interrogeant, en permanence, la question des libertés publiques. La «liberté logicielle» concourt donc à l’exercice de nos libertés fondamentales. Un logiciel est libre si nous pouvons l’utiliser, accéder à son code source, le modifier, et en distribuer des copies. De la sorte, le logiciel libre garantit les libertés des utilisateurs. Il constitue un bien commun qui se développe sous un meilleur contrôle citoyen, favorise l’émancipation des utilisateurs, et encourage au partage de la connaissance. »


 

Jeter des ponts entre les logiciels libres et le monde associatif
Marc Van Craesbeeck «Partage, liberté, militance: le monde du logiciel libre et le monde associatif possèdent nombre de valeurs en commun. Pourtant, les associations sont parfois les lieux où l’utilisation du logiciel libre est compliquée à entreprendre. Manque d’information ? Inadaptation des outils ? Faible disponibilité? Et si c’étaient nos façons de faire, nos schémas de pensées, nos modes d’organisation qui rendaient cette évolution – naturelle – difficile ? Depuis 2007, l’initiative libreassociation.info nous invite à un dialogue interculturel afin de jeter des ponts entre les logiciels libres et le monde associatif. Dans ce cadre, un guide d’usage des logiciels libres à destination des associations est en cours de rédaction. Ce guide est le fruit d’un partenariat entre l’April et la Fondation Crédit Coopératif. Sa diffusion sera gratuite. Une clé USB est en cours de réalisation afin de mettre à votre disposition des logiciels libres en toute simplicité. »

Les EPN et le libre

Pour transformer l'essai, Abelli veut, dans la foulée des RMLL, poser le premier jalon « local » d'un espace d'échange interactif, informel mais régulier à destination des communautés militantes du libre et du monde associatif et non marchand. Ce sera le 24 avril prochain au Mundo B à Bruxelles. Une journée où le libre sera dans tous ses états. Notamment au menu, Framasoft et sa campagne « Dégooglison Internet », Eveyne Jardin, animatrice des ateliers associatifs de la ville de Nanterre mais aussi et très certainement, des retours d'expériences des animateurs multimédias des EPN de Wallonie sur la puissance et la richesse de leurs rapports au libre et aux libertés numériques !


 

Tags : Logiciels Libres - événement - RMLL

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4 nouveaux EPN labellisés !

4 nouveaux EPN nous ont rejoints fin 2014. Ils sont les premiers à avoir été labellisés par notre nouvelle Tutelle, Monsieur le Ministre du Numérique Jean-Claude Marcourt. Il s'agit de :

  • L'EPN de l'ASBL La Baraka à Liège, Centre de jeunes
  • L'EPN Infor Jeunes de Couvin
  • L'EPN du CPAS de Grâce-Hollogne
  • L'EPN de la Commune de Paliseul

Le Réseau des EPN de Wallonie compte maintenant (Avec la labellisation de Villers-la-Ville en Mai dernier) 153 EPN et 106 communes !

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