Articles dans la catégorie : Activités et animations - 595 résultat(s)
C'est en janvier 2000 que la bibliothèque de Jemappes acquiert 8 ordinateurs, situés dans une pièce derrière la salle de la documentation. L'EPN sera géré par Laurence Delhaye : «J'ai été engagée comme bibliothécaire. En parallèle j'ai animé l'espace informatique. On a commencé à faire des animations et des ateliers.» L'EPN sera labellisé en 2006 dans la foulée de l'appel à projets du Ministre Courard. L'objectif : utiliser l'espace multimédia comme porte d'entrée de la bibliothèque à des publics particuliers : enfants, demandeurs d'emploi, jeunes en décrochage scolaires, seniors. « Toutes les activités que je crée sont liées à la lecture. Leur objectif premier est l'appropriation de l'univers de la bibliothèque », explique Laurence Delhaye.
6 phrases, 6 dessins et une tablette
C'est le cas du kamishibai numérique. « Le kamishibai est souvent utilisé en bibliothèque pour raconter des histoires. On est parti de là pour le décliner façon numérique. Côté « hardware », on bricole au cours d'un premier atelier un logement, un butai, dans lequel on va insérer la tablette. Reste à inventer une histoire en 6 phrases qu'on illustrera avec 6 dessins. Le tout sera fait au crayon puis numérisé, ou directement réalisé avec une tablette graphique, puis retouchée. L'animation sera testée dans le cadre du printemps des bibliothèques. « On va voir si l'idée « prend ». Si c'est le cas, on pourrait imaginer une petite collection d'histoires qui pourraient être réutilisées en bibliothèque avec d'autres enfants. On pourrait aussi filmer les ateliers et fabriquer des capsules vidéo avec un public 9-12 ans. Un autre atelier tournera autour d'un butai géant, une toile tendue sur un support en bois qu'on pourra déplacer. L'idée, c'est de venir projeter un dessin sur la toile, et que les enfants le reproduise en le peignant. »
Visites urbaines & graffitis numériques
Laurence Delhaye « planche » aussi sur un concept de visite urbaine. « Ce ne serait pas de l'Urbex sauvage, mais un projet structuré sur plusieurs EPN de différentes régions. Le but : valoriser les territoires en proposant à un public jeune des découvertes urbaines aux travers de photos, d'archives, de recherches en bibliothèque et de visites de bâtiments désaffectés. L'idée est aussi de toucher l'art de rue. » Comment ? « On pourrait fabriquer dans un fab-lab un Free Spray dans lequel on intégrerait une diode infrarouge afin de créer une bombe de peinture virtuelle avec laquelle on pourrait « tagger » les murs d'un bâtiment à dimension historique via une tablette et un projecteur. Les auteurs pourraient être photographiés à côté de leur œuvre, et le tout rassemblé dans un site pour valoriser les créations des jeunes qui ont participé au projet et valoriser les régions concernées. »
Tags : animation - bibliothèque - enfants - EPN
La vedette de cette troisième édition de la journée du logiciel libre en Province du Luxembourg qui s'est déroulée le samedi 23 mai dernier était Emmabuntüs, un système d'exploitation développé par le collectif français éponyme. Des ateliers d'installation ont eu lieu toute la journée et la distribution a connu son petit succès.
Ateliers et conférences
Gilles Herman, animateur à l'EPN de la Province de Luxembourg: « Les années précédentes, nous étions allés au Sud à Arlon et au Centre à Libramont. Il était logique de nous « orienter » vers le Nord. La journée a été co-organisée avec l'EPN de Durbuy, en partenariat avec les EPN de la Haute-Lesse, Gouvy, Arlon et Hotton. Une quinzaine de machines ont été installées dans l'école communale de Barvaux/Ourthe. En parallèle aux ateliers, nous avions comme conférenciers Sylvain Denis et Adrien Rami, représentants d’Apache Open Office et de Linux Ubuntu BeNeLux. Ils ont mis l'accent sur les avantages du libre pour les associations et pour la gestion de petits parcs de machines. Frédéric Van Muysen, graphiste professionnel, a présenté les différents outils qu'il utilisait pour son travail, tous libres évidemment. »
Une journée pour les débutants
LiLux s'adresse aux débutants. «Ceux qui n'y connaissent absolument rien », commente Gille Herman. « Ils peuvent découvrir les avantages du libre, s'initier et échanger avec les animateurs des EPN et avec les autres participants. Traditionnellement, c'est Ubuntu qu'on met en avant. Cette année, Philippe Gillon a proposé de se centrer sur Emmabuntüs. C'est une distribution de Linux qui s'adresse également au grand public. Elle a rencontré plus qu'un succès d'estime avec en tout une trentaine d'installations sur les machines des visiteurs. Certains l'ont installé en dual boot, d'autres ont purement et simplement remplacé leur Windows et sont repartis le système d'exploitation libre.»
Prolonger la durée de vie du matériel
Le collectif Emmabuntüs est un groupe informel de personnes qui s'est constitué autour d’un projet basé sur l’utilisation d’une distribution GNU/Linux nommée Emmabuntüs développée pour simplifier le reconditionnement des ordinateurs usagés donnés aux associations humanitaires, en particulier aux communautés Emmaüs (d'où son nom) et favoriser la découverte de GNU/Linux par les débutants, mais aussi prolonger la durée de vie du matériel pour limiter le gaspillage entraîné par la surconsommation de matières premières. Philippe Gillon, animateur de l'EPN de Durbuy : « J'ai découvert Emmabuntüs tout à fait par hasard. J'ai trouvé qu'il était très convivial, facile à installer. Il convient parfaitement à ce que nous appelons les « Ordinosaures », ces vieux ordinateurs de 5 à 12 ans qui fonctionnent encore très bien sous Linux pour une utilisation quotidienne. La commune m'a suivi dans l'idée, et nous avons organisé la troisième édition de Lilux sur cette thématique. La journée s'est super bien déroulée. Ce qui est très motivant, c'est la participation des collègues qui sont venus nous épauler, nous aider dans les animations et répondre aux questions. »
Du logiciel à la culture libre
Dans l'école, les organisateurs avaient également mis en place un espace de projection qui diffusait en boucle 4 courts métrages réalisés par la fondation Blender. Gilles Herman : « C'était vraiment bluffant de voir à quel niveau de qualité on arrive. C'est de l'ordre du Pixar ! L'idée, c'est de montrer que le le libre ne s'arrête pas au logiciel mais qu'il y a aussi des films libres tout comme il y a des livres libres et de la culture libre ! »
Tags : EPN Mobile Province Luxemboug - Linux - Gilles Herman - Open Source - Commune de Huy - luxembourg - Sylvain Denis
C'est le jeudi 23 avril dernier, dans le cadre de la semaine numérique, que le désormais traditionnel colloque sur la fracture numérique s'est tenu au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Au programme de cette année, 3 thématiques : l'école numérique, le passeport TIC et l'intégration et l'inclusion des Neet's, ce dernier projet impliquant 4 EPN de Wallonie.
Parcours pilote d'insertion
L'expression vient d'Angleterre. Les Neet's (Not in education, Employment or training), ce sont ces jeunes, âgé de 15 à 24 ans, qui échappent à toute filière d'insertion et de formation. On estime à 30.000 en Wallonie ces jeunes en situation de désafiliation. Avec l'appui de la cellule Citizenship de Microsoft, Technofutur TIC lance à leur égard un projet pilote de parcours de formation articulé autour des TIC. L'objectif ? Que 4 EPN, ceux de Louvain-la-neuve, Boussu, Huy et Verviers, sensibilisent et redonnent confiance à 300 jeunes via une formation informatique.
Redonner confiance
C'est en 2012 que Microsoft a lancé un programme d'accompagnement de la jeunesse baptisé YouthSpark. Déployé en partenariat avec les pouvoirs publics et les tissus associatifs locaux, il a pour objectif, à travers une formation IT basée sur les outils de l'éditeur américain, de redonner confiance aux jeunes dans leur démarche de recherche d'emploi et/ou de formation. Microsoft a ainsi monté des projets de formation pour jeunes demandeurs d'emploi avec des organismes comme Bruxelles Formation, COF Belgique ou encore CDO Spoor 5 Mechelen. Après avoir pris contact dans le même sens avec le Forem, et plus spécifiquement avec Bernard Asbrouck, chercheur à l'ULB spécialisé dans cette question de la désappartenance et Conseiller Général au Forem, Bruno Schröder, le responsable belge du programme Youthspark, a pris langue avec Technofutur TIC pour un projet pilote de parcours de formation qui passera par les EPN. C'est une première, qui pourrait déboucher sur un plan plus vaste.
Des parcours de formation dans 4 EPN
Eric Blanchart, Chargé de mission EPN de Wallonie : "Dans le montage du projet, les EPN de Boussu, Huy, Louvain-la-neuve et Verviers ont été choisis pour le travail social qu'ils avaient déjà mené auprès des jeunes et pour les indicateurs régionaux qu'ils vont pouvoir fournir. Le but est de toucher 300 jeunes, 75 par EPN. Ils vont passer pour la prise de contact par des partenaires locaux comme les animateurs de rue, les SAS (Services d'Accrochage Scolaires), les CEFo ou les MIRE (Missions Régionales pour l'Emploi). Idéalement, il s'agit d'en intéresser 50 par structure à suivre un parcours de formation TIC. Sur ce groupe de 50 jeunes que chaque EPN va former, nous voudrions qu'au moins la moitié d'entre eux fasse l'entièreté du parcours. Donc, au terme du projet pilote, nous aurions une centaine de jeunes capables de se réintégrer dans une filière de formation. » Si l'expérience aboutit et que les EPN s'avèrent constituer une bonne structure pour l'accueil et l'accompagnement des jeunes en décrochage, un appel à projet plus large pourrait être lancé l'année prochaine, dans un cadre européen.
Tags : alphabétisation numérique - e-inclusion - formations
C'est pour retrouver l'ambiance qui existait dans les clubs informatiques des années 80 que 4 personnes passionnées ont donné naissance au Hackerspace de Namur. Le plus difficile a été de trouver un local à un prix raisonnable. Ils le loueront à la SNCB. Aujourd'hui, l'ASBL compte une cinquantaine de membres. Tous les jeudi, une quinzaine d'apprentis bricoleurs donnent naissance ici à un robot suiveur de lumière, là à une quadcopter, « from scratch ». Au hackerspace de Namur, on s'amuse en acquérant des maîtrises robotiques et électroniques . On mise sur la créativité et le partage d'expérience. Gil Damoiseaux, le président de l'ASBL : « C'est un espace de rencontre et de création interdisciplinaire. Le fonctionnement est basé sur le partage de connaissances telles que l'électronique, l'informatique ou les arts numériques. Mais le hackerspace ne se limite pas nécessairement à ces domaines. Notre but est de rassembler des personnes créatives motivées par des projets technologiques communs. »
Robot suiveur de lumière
Chaque semaine l’ASBL organise deux réunions en soirée afin d’échanger, d’apprendre, de construire et de collaborer sur des projets variés. L'Incubhacker sort parfois de ses murs, pour animer un stand au salon de l'innovation ou pour participer au festival international du digital de Namur, le Kikk. A chaque fois, Nino, le robot suiveur de lumière, a son petit succès. « C'est un projet parmi d'autres. Chacun vient pour faire ce qu'il veut. Il suffit de payer sa cotisation (10 € par soirée, ou 80 € par trimestre) pour avoir accès aux outils et au matériel. La ville nous soutient. Nous avons reçu une subvention de 2100 € l'année dernière et on espère recevoir la même chose cette année. » Le Hackerspace s'inscrit dans un réseau plus large d'animations numériques, avec des contacts avec le café numérique, le repair café, l'espace de Co-working de Namur ou encore le Trakk, un lieu assez similaire au Hackerspace, mais plutôt orienté professionnel avec des équipements plus lourds comme des fraiseuses numériques ou des imprimantes 3D.
Drone domestique conçu de A à Z
L'accent est mis sur le partage des connaissance pour une maîtrise complète de l'ensemble des composants. Gil Damoiseaux : « Voilà plus d'un an maintenant que certains de nos membres travaillent sur des quadcopters. Le montage s'effectue from scratch. On part de rien pour aboutir à un drone opérationnel. Celui de l'un de nos membres vole déjà. Deux autres sont encore sur le banc de test mais cela avance bien. Le but est de s'amuser sur des projets dont on acquière la maîtrise. Deux autres de nos membres ont créé une graveuse, une ergodécoupeuse, à partir de lecteurs de disquettes. On travaille pas mal avec du matériel de récupération. Le résultat est impressionnant. La graveuse a une zone de découpe de 5 cm sur 5cm. La précision est incroyable : ils ont pu graver le loGo de notre Hackerspace à l'intérieur d'une coquille de pistache !
Tags : culture numérique - Fab Labs - Makers
Mais qu'ont bien pu faire Papys Guy et Maurice et Mamys Chantal, Agnès, Milou, Bewir avec Antoine, Lialia, Nicolas, Vic, Jade et Flo ? La rencontre intergénérationnelle Hyperpaysages Yvoir organisée dans le cadre de l'appel à projet Papy et Mamy surfeurs arrive (provisoirement) à son terme. Les participants ont présenté officiellement leurs création le 13 décembre dernier à l'EPN : deux hyperpaysages, l'un du centre d'Yvoir et l'autre du site médiéval de Poilvache. Le prochain rendez-vous est fixé au dimanche 21 décembre prochain à 14h, à la bibliothèque communale d'Yvoir-Godinne
Le centre ville et le site de la Poilvache en vue panoramique
En 2001, l'hyperpaysage a fait l'objet d'une recherche action menée par l'Institut d'Eco-Pédagogie de Liège, en partenarit avec le Laboratoire de la géographie de l'Université de Liège auprès des élèves du secondaire supérieur de Visé. Cette technique est une déclinaison du lien hypertexte appliqué à des photos qui permet de décomposer l'image en zones cliquables qui activent des documents ressources (texte, son, image, vidéo). Partant d'une photographie d'un paysage, on obtient ainsi un hyperpaysage. Veronica Casa Responsable des EPN d'Yvoir-Godinne : "En tant qu'animatrice de l'EPN d'Yvoir, j'organisais des activités d'un côté pour les seniors, de l'autre côté pour les enfants. Quand l'appel à projet Papy et Mamy surfeurs a été lancé, j'ai réfléchi à une projet pouvant se faire mixer les deux publics. J'ai eu l'idée des hyperpaysage après la lecture d'un article sur le sujet. Avec mes collègues Céline Boka et Anne-Pascale Leboutte qui sont coordinatrices du Plan de Cohésion Sociale, on s'est lancé. De septembre à décembre, nos seniors et nos juniors ont travaillé en groupe sur les deux lieux qu'ils avaient choisi : le centre d'Yvoir et le site médiéval." Le résultat : une image numérique interactive mobile à 360° à partir de laquelle on peut accéder à toutes sortes de contenus multi-médias.
Bientôt de nouveaux hyperpaysages à Yvoir
Concrètement, on prend une série de photos d'un paysage qu'on va passer dans une application de montage panoramique qui va établir des repères entre les images prises pour aboutir à une fusion à 360°, ici celui livré avec les appareils numériques Canon. Véronica Casa : "Nous avons choisi 4 lieux qui pouvaient intéresser les participants, pour retenir les deux qui avaient suscité le plus d'intérêt. Un premier sous-groupe à travaillé sur le centre d'Yvoir sur la thématique passé-présent à partir de veilles cartes postales et de photos récentes. D'autres binômes senior-enfant ont planché sur le site médiéval de Poilvache à partir de 4 thèmes : histoire, faune et la flore (le site est situe au sein d'une réserve naturelle), folklore et la vie quotidienne au moyen-âge. A partir de photos, d'interviews, de recherches, des points sur la photo ont été activés et documentés. A notre grande surprise, les participants ont insisté à conduire le projet de bout en bout, et sont allés jusqu'à introduire les contenus dans le CMS Spip. En tout, 12 après-midi d'atelier ont été organisées les mercredi et les samedi, en plus du travail à la maison ! Nous avons bénéficié du soutien technique de l'Institut d'Eco-Pédagogie. L'hébergement des réalisations sur la page des hyperpaysages d'Yvoir est payé pour 2 ans, alors on voudrait qu'il puisse accueillir de nouvelles réalisations."
Tags : appel-à-projets - Yvoir - cohésion sociale
La Commune de Quaregnon propose à ses habitants 4 lieux ouverts. Geoffrey Mincke, animateur multimédia : « Nous avons un EPN « à temps plein », c'est le mien et 3 EPN intégrés aux Maisons de Quartiers. Nous sommes repris dans le Plan de Cohésion Sociale de la Région Wallonne. Il faut bien comprendre que notre but, en plus de faciliter l'utilisation des TICS, est d'être un lieu de rencontre et d'échanges, tant au niveau interculturel qu'intergénérationnel. »
« Cela fonctionne très bien ! les gens viennent pour apprendre, pour ne pas être "largués" en matière d'informatique, mais aussi pour se rencontrer. On tient très fort à favoriser l'aspect convivial avec une tasse de café, une discussion. Il s'agit de dédramatiser l'informatique, le rendre social et attrayant, et ne pas laisser de côté les "précarisés du clic". Au final, on se demande si les personnes viennent pour apprendre à utiliser un moteur de recherche ou rencontrer un voisin, un habitant du quartier. Certainement les deux. Un lieu de rencontre autour d'un sujet pratique, ça marche! Depuis mon arrivée à Quaregnon j'ai tenté de rendre l'EPN incontournable en touchant différents publics. Avec le Clic Facile, on propose des séances en groupe pour les débutants (jusqu'à 14) pour un petit tour d'horizon des incontournables « souris, clavier, Internet, courrier électronique et....Google. »
L'EPN organise également des séances thématiques en groupe sur des sujets aussi variés que Skype, Facebook, le traitement de texte, la gravure sur CD et DVD, la sécurité antivirus, Google Earth, la modélisation 3D ou encore la découverte de la tablette. Geoffrey Mincke : « Le programme change toutes les années, Globalement, nous avons beaucoup de seniors car les séances se font en journée. » Les thématiques, ce sont également des programmes comme Car Clic, Student Clic ou Lady Clic. « Car Clic permet d'apprendre à conduire via le logiciel feu vert. On apprend la théorie et on peut répéter l'examen sur PC». Avec Student Clic, une classe de 6ème secondaire pourra découvrir les suites Microsoft Office et Open Office. « L'idée est de voir les deux en parallèle, pour rendre les élèves autonomes et leur laisser le choix entre les environnements propriétaires et libres. Lady Clic est un nouveau projet : « Avec ma collège du PSSP (Plans stratégiques de sécurité et de prévention - violences intrafamiliales), nous proposons des activités traitant de l'émancipation de la femme. Dernièrement on a réalisé avec les participantes un micro-trottoir sur le sujet des violences faites aux femmes. » Dans le déroulé de cette opération « ruban blanc », on trouve l'utilisation (et donc l'apprentissage) de la caméra, du montage vidéo, des réalisations et du traitement d'interviews.
On le sait, les EPN ont vocation dans leurs nouvelles missions à agir en tant qu'agence de conseil du numérique citoyen. L'EPN de Quaregnon met en place toute une série de « E-services » : déclaration d'alarmes, récupération des avertissements extraits de rôle sur le site fédéral, accès à Job @ Work, ce en parallèle avec un service de dépannage contre les virus et autres soucis de perte de fichiers. L'EPN assure également des missions de conseils pour les ASBL et les institutions. Entre guichet numérique et agence conseil, il n'y a qu'un pas. A Quaregnon, il est franchi...
Tags : agence conseil du numérique
Tags : bibliothèque - Hors Champ - liseuses - M@lmedia - tablettes - Wamabi
Tags : égalité numérique - bibliothèque - Enéo - fracture-numérique - Hors Champs - inclusion numérique - Makers
Tags : fracture-numérique - Gérard Valenduc - inclusion numérique - SPP Intégration sociale - Wiki
Tags : alphabétisation numérique - code - NUMEDIART - Processing - Programmation - UMONS