D'après un article de Marie Meurisse du 10 septembre 2010 paru dans Le Temps
Utiliser les réseaux sociaux du Web pour enseigner? Demander aux élèves de faire leurs devoirs sur Twitter? De Paris à Sierre, les enseignants lancent des idées inédites. Horizons
Quand Laurence Juin donne des consignes à ses élèves, elle envoie un message instantané via le réseau Twitter. «Rédigez un tweet présentant votre futur lieu de stage». «Je serai au service logistique d'une industrie», répond immédiatement l'un d'entre eux sur le «mur» virtuel de la classe. Au lycée professionnel de Pierre Doriole (La Rochelle, France), la rentrée scolaire ne respire pas seulement les cahiers et crayons. Le savoir s'y transmet aussi par ordinateur, sur les réseaux sociaux.
«Au début, j'étais amie sur Facebook avec mes élèves, explique Laurence Juin, 36 ans, qui enseigne le français, l'histoire-géographie et l'éducation civique. Mais cela mélangeait trop ma vie privée avec ma vie professionnelle. Et quand mes élèves ont compris que je voyais leurs photos de soirées arrosées, ils m'ont supprimée de leur liste... Comme j'utilisais moi-même Twitter, je les ai alors fait travailler dessus. Depuis l'année dernière, c'est un vrai succès!»
En classe, ces apprentis maturistes commentent textes et images par petites phrases, en 140 signes, selon le principe du fameux site de micro-blogging. À la maison, ils débattent en ligne avec leurs camarades d'une émission télévisée ou d'un livre. Même s'ils respectent une charte d'utilisation très stricte, ces adolescents sont conquis par la modernité de la méthode. «Nous faisons un travail collaboratif et mutualisé, ajoute leur professeur. Ainsi, ils deviennent acteurs et non pas consommateurs du cours».
Pionnière, Laurence Juin a interpellé et fasciné le monde enseignant. Son approche est-elle démagogique? Anecdotique? Ou médiatique? Pourtant, d'autres expériences du même type se rapprochent de sa sympathique communauté Twitter. En France toujours, à Lyon, le professeur de gestion Jean-Paul Moiraud a développé un blog participatif avec ses étudiants. À Lille, François Jourde enseigne la philosophie sur Twitter. Sur le même principe, d'autres pédagogues privilégient sites ou blogs.
Il existe peu d'études sur le sujet. Et les rares spécialistes sont loin de crier au scandale. Audrey Guilbaud-Varachaud, professeur à Bayonne, mène par exemple une étude sur ce type de pédagogie. «Les élèves jouent le jeu et sont demandeurs. L'apprentissage des dates en histoire devient ludique, mais tout aussi efficace. La publication numérique permet en outre de mettre en valeur leur travail». «En passant par l'écrit, les élèves améliorent leur mode d'expression. Ce qu'ils mettent en ligne est entièrement public, ils réfléchissent donc également à leur identité virtuelle et à leur vie privée. Et puis inconsciemment, cette réflexion collective renforce la cohésion, crée une identité de classe et d'établissement. Comme du team building!», approuve Julien Llanas qui est, à Créteil, chargé de mission sur l'utilisation des nouvelles technologies dans l'éducation.
En Suisse romande, Lyonel Kaufmann sera le premier à adopter Twitter dans un cadre scolaire. D'ici début 2011, ce professeur d'histoire à la Haute école pédagogique du canton de Vaud fera travailler ses élèves sur le site. Son modèle? Le projet mis en place l'année dernière à l'université de l'Utah (Etats-Unis). «En 48 heures, onze étudiants ont reconstitué sur Twitter la bataille de Gettysburg, dit-il. Chacun devait endosser le rôle d'un des personnages, dont celui de Lincoln. Pour cela, ils ont dû reconstruire les faits, trouver des informations et les synthétiser... Très intéressant! Avec des collègues, nous allons donc développer un nouveau scénario en français».
Lyonel Kaufmann, blogueur émérite et fan des nouvelles technologies, est l'un des rares Suisses à faire entrer, pour l'instant, les réseaux sociaux sur les bancs de l'école. Jacques Daniélou, président de la société pédagogique vaudoise: «Il y a une méfiance généralisée sur cette question. Certains collègues ont été la cible d'injures publiées sur des blogs d'élèves. D'autres ont accepté leurs étudiants comme amis sur Facebook et s'en sont mordu les doigts. Parfois, il y a un mélange des genres un peu regrettable. Malgré cela, ce n'est pas une raison pour tout diaboliser.»
«Je crois que de nombreux professeurs craignent ce qu'ils ne connaissent pas», note François Flückiger, enseignant détaché au Centre de ressources interjurassien. «Il faut que l'école s'intéresse à Facebook afin de prévenir les dérapages et éduquer les élèves. Ceux qui s'y refusent peuvent utiliser educanet, un outil communautaire gratuit et moins risqué que les réseaux sociaux classiques».
En Suisse, nombre de professeurs optent pour cette alternative. Ou pour de simples blogs ainsi que des wikis - des sites modifiables par tous les utilisateurs. François Lombard, chargé d'enseignement en biologie auprès des professeurs du secondaire à Genève, utilise ces wikis depuis plus de sept ans. «Mes élèves vont chercher et trier des informations, qu'ils mettent ensuite dans le wiki pour nous les faire partager. Ils produisent leur propre savoir! Cela remet totalement en question le rapport maître-élèves. Celui qui enseigne n'a pas la science infuse, puisque les étudiants eux-mêmes sont porteurs de compétences et d'idées. 90% de ce qu'ils apprennent ne vient pas de moi».
Bel horizon. Les professeurs engagés sur ces voies insistent tout de même sur le fait que ce genre de dispositif suppose de cadrer rigoureusement les élèves (souvent au moyen d'une charte) et d'être souvent disponible, y compris le soir, pour corriger les fautes, donner les instructions, rappeler à l'ordre et vérifier le contenu du blog. La «pédagogie embarquée», comme les spécialistes l'appellent, dépend de l'engagement bénévole de l'enseignant...
Car les enseignants, eux aussi, ont une vie privée. Et s'ils n'utilisent pas Facebook en classe, ils s'en servent souvent pour garder contact avec leurs anciens élèves. Pascal Rey, enseignant de troisième primaire à Sierre, refuse les demandes d'amitié virtuelle de ses élèves de dix ans. Par contre, il est ravi de garder contact avec les enfants qu'il a connus il y a dix ou vingt ans. «En tant qu'enseignant, je me préoccupe de l'avenir de tous mes élèves. Sans Facebook, je les aurais perdus de vue. Alors que là, j'ai retrouvé ceux des anciennes volées avec beaucoup de bonheur. Je sais quel diplôme ils ont, où ils vivent... Comme on dit: loin des yeux, près du coeur».
Tags : enfant - enseignement - réseaux sociaux - Twitter
European Dynamics annonce l'organisation d'un atelier de 2 jours les 12 et 13 octobre 2010 à Bruxelles qui portera sur le partage de bonnes pratiques dans le secteur des compétences numériques des intermédiaires et des acteurs sociaux travaillant dans le domaine de l'inclusion numérique.
En outre, l'atelier visera à identifier et diffuser les solutions (formation, ressources, outils, etc) pour les compétences numériques des acteurs de l'inclusion sociale, les recherches actuelles menées dans ce domaine, les initiatives et les programmes de financement au niveau local, national ou européen.
L'accent sera donc mis sur la nécessité d'améliorer l'accessibilité des produits et services des TIC par les intermédiaires et les acteurs sociaux.
Qui sera présent ?
L'atelier est ouvert aux institutions de formation publiques et organisations privées de protection sociale, numérique, les ONG et le «troisième secteur» des organisations travaillant dans le domaine de l'e-inclusion ou l'inclusion sociale, les chercheurs, les développeurs de TIC et d'autres personnes impliquées ou intéressées par la thématique.
Appel pour des présentations :
Les personnes intéressées doivent s'inscrire en parlant à l'atelier et soumettre une proposition initiale et concise, qui devra être fondée sur un ou plusieurs cas réels (voir appel à la participation dans la section "présentations et documents» ci-dessous), par 13 Septembre 2010.
Les intervenants potentiels sont encouragés à soumettre l'objet de leur présentation ( http://www.epractice.eu/en/cases ).
Lieu de rendez-vous :
Commission européene
Adresse :
Avenue De Beaulieu 33 0/54, Bruxelles 1160
Document : ICI
Tags : animation - conférence - europe
Tags : veille
Technofutur TIC organise une conférence sur les métamorphoses de la création et de l'édition à l'ère numérique ce 29 septembre 2010.
Les technologies de l'information ouvrent de nouvelles perspectives de création, de production, de diffusion et de consommation. Les formes d'écriture se libèrent au gré des technologies et supports, les opportunités de diffusion se multiplient pour les auteurs, les modèles économiques de production/distribution se recomposent, le rôle du lecteur se métamorphose...
Cette journée débordera largement la question de la diffusion au format numérique du livre, sorte d'objet hybride, pour appréhender l'impact du numérique sur l'ensemble du processus de création. Nathalie Caclard (chargée de mission du réseau Point Cyb sur Paris et formatrice en pratiques culturelles pour les EPN de Wallonie) animera la partie sur les nouvelles pratiques d'écriture et d'interaction, Fabienne Goudmant (Animatrice et responsable de l'EPN de Mons) interviendra dans le panel sur le même thème.
Nouveaux usages, nouvelles technologies, nouveaux modes de productions les opportunités existent mais les risques et menaces le sont encore davantage : statut des créateurs, propriété intellectuelle, investissements à l'aveugle, impasses technologiques, mutation du marché, ce sera l'autre face de la journée. Pierre Lelong, Chef de projet à Technofutur TIC, animera les débats sur les nouveaux modèles économiques de l'édition et la place des nouveaux lecteurs, co-acteurs et prescripteurs.
Programme :
Inscription :
http://www.technofuturtic.be/code/fr/detail.asp?ID=962
Tags : conférence - Technofutur-TIC
L'ASBL Cap-Net a pour but de permettre l'accès et l'appropriation de tous les progrès technologiques à l'ensemble des acteurs de l'économie sociale et solidaire. Cette Asbl dynamique a rejoint le Réseau des EPN de Wallonie lors des Rewics 2010.
Ses projets vont de l'organisation de Lan Party jusqu'à la récupération de matériel informatique pour le recyclage en Afrique.
Les formations de l'EPN s'adressent également aux seniors et un accent tout particulier a été fait pour les accueillir et les suivre avec attention. En effet, à travers une pédagogie adaptée, l'ASBL Cap-Net se propose de mettre au service de ce public ces nouvelles technologies. Qu'il s'agisse de rompre l'isolement ou de s'approprier les usages que l'on croyait réservés aux plus jeunes, les seniors peuvent ainsi continuer de faire rimer retraite avec dynamisme et activité.
Dans le cadre de l'Appel à projets "Papy et Mamy surfers", Cap-Net Propose aux retraités d'apprendre à surfer sur la toile. Dans un premier temps, les élèves se familiarisent donc avec l'ordinateur, puis ils apprennent à l'allumer et à manipuler la souris et le clavier. Ainsi, aidés par les formateurs, les seniors découvrent rapidement le maniement des ordinateurs de dernière technologie.
« Cette initiative a pour but de rompre la fracture technologique entre les générations et de permettre aux « trois ou quatre fois vingt » de correspondre avec leur famille par email ou Messenger, c'est aussi une façon de renouer les contacts et les dialogues entre petits-enfants et grands-parents qui ont ainsi un centre d'intérêts commun » explique Bernard Debras, président de l'Asbl.
Des cours proposés :
- Éveil Internet et courrier électronique : naviguer et communiquer via internet
- lire son journal ou les infos sur internet et les imprimer
- Découverte des outils multimédia : écouter sa musique, visualiser ses photos, regarder ses DVD
- Initiation traitement de texte et au tableur : découverte de Word et Excel
- Utiliser ses périphériques : devenir autonome avec les appareils numériques (photo, caméscope, clé USB, imprimante...)
- Retouche photos : avec le logiciel Picasa
- Création de compositions personnelles : carte de voeux, faire-part, calendrier
- La sécurité de votre ordinateur : protéger votre ordinateur contre les virus et les logiciels espions
- Créer un diaporama : récit photos à l'aide de logiciels multimédia
Mais aussi des idées :
La prise en main intuitive avec l'ordinateur Magui :
L'idée serait de le mettre cet ordinateur spécifique à disposition des maisons de retraites. L'Asbl est passée sur le PC Magui mais en plus il peut être utilisé sur n'importe quel pc avec webcam...
Cet ordinateur se compose d'un simple écran plat entièrement tactile et ne requiert ni souris, ni clavier.
Cet ordinateur permettrait ainsi de consulter le menu des repas, recevoir des photos ou des mails de votre famille, les voir en message vidéo ou même discuter en direct par vidéoconférence avec eux, c'est désormais possible. Le tout sous Windows 7 !
L'utilisation d'Eviacam : (Lien de téléchargement : http://eviacam.softonic.fr/)
Voici un logiciel gratuit utilisé par l'Asbl qui pourra permettre à l'usager de diriger son curseur et de cliquer par les mouvements de tête à l'aide de la webcam...
"La fenêtre principale de eViacam offre aussi un raccourci vers le clavier virtuel de Windows. Pour cliquer sur un lien ou un document, il faut placer le curseur dessus et patienter quelques secondes pour qu'il s'exécute. En haut de l'écran, une barre permet de choisir le type de clic à effectuer: simple clic gauche ou droit, double-clic ou même rien du tout. Ce système permet au personnes qui ont des problèmes moteurs ou qui n'ont plus l'usage ou la dextérité des mains de pouvoir consulter simplement un menu ou lire la « Gazette »" nous explique Bernard Debras.
Pour contacter l'ASBL Cap-Net à Orp-Jauche, vous pouvez le faire via ces coordonnées :
Bernard Debras
Cap-Net ASBL
rue des tanneurs, 3b
1350 Jandrain
Email : info@cap-net.be
Tel/fax: 019/51.55.59
GSM: 0474/32.69.26
site internet : http://www.cap-net.be
Lancée en 2005 par Nicholas Negroponte, célèbre professeur du Massachusetts Institute of Technology (MIT), la fondation One Laptop per Child (OLPC) a pour but de procurer un ordinateur portable, connectable à internet, aux enfants les plus pauvres de la planète. Ce pari est d'abord éducatif: connectés à l'information du monde, ces enfants disposeront des nouvelles opportunités d'apprendre, d'expérimenter et d'échanger. Avec un bagage plus grand, ils augmenteront leurs chances de sortir de la pauvreté, estime la fondation.
La tâche des promoteurs de OLPC a été particulièrement ardue : mettre au point un ordinateur à 100 $, robuste, auto-rechargeable, avec un écran permettant une lecture au soleil et susceptible de se connecter à un réseau sans fil (WiFi ou mobile). De plus, l'appareil doit pouvoir résister aux conditions locales (poussière, chaleur, etc.).
Une fois l'ordinateur conçu, il a fallu convaincre les ministères de l'éducation des différents pays en développement d'acquérir et de distribuer ces ordinateurs dans les écoles. Les gouvernements uruguayen et péruvien ont été les premiers à passer commande. En Afrique, le Ghana, le Sierra Leone et le Rwanda sont également devenus des partenaires de OLPC. Au total, près de 2 millions de XO auraient été distribués. Dans le monde, environ 1 milliard d'enfants fréquentent une école. OLPC estime à 100 millions le nombre total d'écoliers auxquels s'adresse son programme. Un long chemin reste donc encore à parcourir pour équiper cette vaste population...
Lien vers One Laptop per Child (OLPC)
Lien vers la galerie de photos de OLPC
Le Wiki officiel de l'OLPC
(Via l'article de l'AWT : "OLPC: livrer un ordinateur portable à tous les écoliers du Sud")
Tags : Afrique - AWT - enfant - International - Internet
Le GSARA, organisme d'Education Permanente depuis plus de 30 ans, est un réseau de centres d'animation et de formation, actif dans les métiers de l'image et du son, comprenant l'audiovisuel mais aussi les Technologies de l'Information et de la Communication. Où ? A Bruxelles, bien sur, mais également à Liège, La Louvière, Charleroi, Dinant etc...
Le GSARA organise le 15 septembre une journée de réflexion intitulée «Clic démocraTIC» qui se tiendra au Port de Bruxelles, afin de naviguer et de surfer sur la vague de la démocratie en ligne...
Face à la crise de nos démocraties représentatives, la tentation est grande de voir dans les technologies des pistes de solution au déficit démocratique. Les mythes de la citoyenneté renforcée à travers l'interactivité se sont progressivement imposés. Mais quelles sont les réelles opportunités et les limites de l'Internet et des TIC pour un renouveau de la démocratie, de la mobilisation et de la citoyenneté ? L'Internet se rapproche-t-il du principe originaire de la démocratie directe et de l'agora grecque ou tient-il du discours utopique ?
Au programme : des moments conviviaux de partage d'informations et de pratiques sur l'activisme en ligne, le webjournalisme et la politique 2.0.
9h : Accueil des intervenants/public
9h15 : Exposé de Yana Breindl, doctorante en communication à l'ULB, spécialiste de l'activisme en ligne : « Hacker la loi : activisme techno-politique à l'échelle européenne »
10h15 : Activismes 2.0 Greenpeace (campagne huile de palme), Ligue des Droits de l'Homme (campagne carte Mobib), Amnesty International (www.isavelives.be)
12h30 : Pause déjeuner
13h15 : Exposé de Mathieu Simonson (chercheur CITA-FUNDP) ; « Blogs politiques et journalisme 2.0 » (en tandem avec Les Corsaires asbl : "Appropriation du web dans une démarche d'Education permanente")
14h30 : Régis Vansnick (www.tetedeliste.com) : « Le Web 2.0 peut-il influencer les pratiques politiques ? Comment les partis politiques s'en saisissent-ils ? » En présence des responsables communication/site web des partis politiques progressistes francophones
16h30 : discussion avec le public et drink
Entrée gratuite !
GSARA asbl - Julie van der Kar - julie.vanderkar@gsara.be 02/250 13 29 (direct) - 02 / 218.58.85 (général)
Tags : conférence - TIC
7 (+1 au 02/09) nouveaux espaces publics numériques rejoignent aujourd'hui le Réseau des EPN de Wallonie, il s'agit de :
Le Réseau des Espaces Publics Numériques des Pouvoirs Locaux de Wallonie compte donc à ce jour 118 EPN labellisés !
Comment solliciter le label ?
Rappelons que le label régional "Espaces Publics Numériques des Pouvoirs Locaux de Wallonie" peut être sollicité par les Espaces gérés par les communes ou acteurs non marchands soutenus par les communes, CPAS ou provinces wallonnes.
La demande à introduire et la procédure de labellisation sont indiquées à cette adresse.
Toujours aussi dynamique, l'animateur de l'EPN de Neufchâteau Patricks Weyders, a organisé cet été des ateliers de reportage et de montage vidéo dans le contexte des stages multi-sports de l'été pour adolescents.
Tous les reportages on été réalisés avec des programmes et logiciels gratuit et/ou libre !Pour le montage "cinéma", le programme "Movie maker",
Pour les retouche photos, "picnik", "befunky"," pizap"
Pour les musiques, le site "jamendo" et même des compositions perso sur "soundation".
Le résultat : 10 clip/reportages reflétant les différentes vision du stage ADEPS multi sports/Informatique à l'adresse http://www.youtube.com/user/EPNNeufchateau
Un bel exemple d'animations pour adolescents dans le cadre des vacances !