Résultats du tag : exercice - 232 résultat(s)
C'est à Technofutur TIC et au CST de Marche-en-Famenne que se sont données les 2 premières sessions de Webetic en partenariat avec Child Focus.
Les animateurs multimédias ont répondu présents puisque, pour ces 2 sessions, il y avait plus de 20 EPN présents !
Le contenu de la formation portait sur les usages des adolescents sur le Web (Gaming, téléchargement, E-Mail, Chat, Webcam, Blogs, Gsm, etc...) et sur l'accompagnement nécessaire. On y trouvait également des notions de cyber-harcèlement, de cyber-dépendance et de lutte contre la cyber-pédopornographie. Nadège Bastianen, Project Manager chez Child Focus et conférencière Webetic, a décrit ainsi largement les usages des adolescents (Avec chiffres d'études à l'appui comme ceux du TIRO) en s'attardant sur les opportunités du Web mais également sur les risques sans dramatiser outre mesure et ce, à travers de nombreux exemples sous formes d'anecdotes ou de vidéos.
Lien : Les trucs et astuces Webetic
Petite surprise, ce vendredi 08 octobre, la télévision régionale luxembourgeoise, Tv Lux, s'est déplacée pour effectuer un reportage. Celui-ci donne une très bonne idée de l'ambiance de la journée :
3 sessions sont encore accessibles pour les animateurs d'EPN :
Tags : animation - conférence - enfant - EPN - formation - sécurité
Les TIC offrent aux jeunes une multitude de possibilités : chat, jeux, musique, informations, réseaux sociaux... C'est connu, les jeunes adorent Internet !
C'est une ouverture sur le monde avec ses avantages et...ses inconvénients. Selon les recherches du projet européen EU Kids Online, 72% des Belges âgés d'au moins 15 ans ont un profil sur un site de réseautage et passent en moyenne 3 heures par jour devant leur écran. Même si les parents s'inquiètent du comportement de leur enfant sur la toile, 50% de ces jeunes internautes estiment surfer sans le moindre contrôle parental. Moyennant un accompagnement, le Web est pour tous, petits et grands, un outil formidable. Il est donc opportun d'apprendre à se servir ensemble de ce merveilleux instrument de manière positive et sécurisée.
Au vu de ce succès et de la demande croissante des parents en communauté française pour ce type d'action, Child Focus et le Cabinet du Secrétaire d'Etat à la Politique des Familles ont élaboré un projet équivalent pour le Sud du pays : Webetic. L'objectif de cet outil : rassurer ! Les parents ne se sentent pas toujours à l'aise avec ces nouveaux médias et ne savent pas vraiment comment aborder les risques du Web avec leurs enfants. Child Focus veut apporter une réelle valeur ajoutée en proposant aux parents une véritable « boîte à outils » pour aborder avec leurs enfants les pièges du Net et surtout leurs solutions.
Dans ce but, Child Focus et le Centre de ressources des EPN de Wallonie (Technofutur TIC) mettent en place un système de séances d'information Webetic au sein du réseau des EPN de Wallonie afin de sensibiliser un maximum d'animateurs multimédias des EPN de Wallonie et que ceux-ci sensibilisent à leur tour leurs usagers.
Pour ce faire, cinq sessions de formation des animateurs EPN sont prévues pour présenter aux animateurs l'outil Webetic et ce, dans 5 endroits différents :
Les participants découvriront tous les éléments qui composent Webetic : la séance d'information, la présentation multimédia, des trucs et astuces agrémentés d'exemples concrets, les vidéos éducatives avec des mises en situation et les films démos sur les paramètres de sécurité mais aussi le site, www.webetic.be, support électronique à la séance d'information, centralisant les conseils de prévention sur la sécurité en ligne. Une clé USB leur sera remise avec l'ensemble du matériel.
Tags : animation - conférence - enfant - EPN - sécurité
D'après un article de Marie Meurisse du 10 septembre 2010 paru dans Le Temps
Utiliser les réseaux sociaux du Web pour enseigner? Demander aux élèves de faire leurs devoirs sur Twitter? De Paris à Sierre, les enseignants lancent des idées inédites. Horizons
Quand Laurence Juin donne des consignes à ses élèves, elle envoie un message instantané via le réseau Twitter. «Rédigez un tweet présentant votre futur lieu de stage». «Je serai au service logistique d'une industrie», répond immédiatement l'un d'entre eux sur le «mur» virtuel de la classe. Au lycée professionnel de Pierre Doriole (La Rochelle, France), la rentrée scolaire ne respire pas seulement les cahiers et crayons. Le savoir s'y transmet aussi par ordinateur, sur les réseaux sociaux.
«Au début, j'étais amie sur Facebook avec mes élèves, explique Laurence Juin, 36 ans, qui enseigne le français, l'histoire-géographie et l'éducation civique. Mais cela mélangeait trop ma vie privée avec ma vie professionnelle. Et quand mes élèves ont compris que je voyais leurs photos de soirées arrosées, ils m'ont supprimée de leur liste... Comme j'utilisais moi-même Twitter, je les ai alors fait travailler dessus. Depuis l'année dernière, c'est un vrai succès!»
En classe, ces apprentis maturistes commentent textes et images par petites phrases, en 140 signes, selon le principe du fameux site de micro-blogging. À la maison, ils débattent en ligne avec leurs camarades d'une émission télévisée ou d'un livre. Même s'ils respectent une charte d'utilisation très stricte, ces adolescents sont conquis par la modernité de la méthode. «Nous faisons un travail collaboratif et mutualisé, ajoute leur professeur. Ainsi, ils deviennent acteurs et non pas consommateurs du cours».
Pionnière, Laurence Juin a interpellé et fasciné le monde enseignant. Son approche est-elle démagogique? Anecdotique? Ou médiatique? Pourtant, d'autres expériences du même type se rapprochent de sa sympathique communauté Twitter. En France toujours, à Lyon, le professeur de gestion Jean-Paul Moiraud a développé un blog participatif avec ses étudiants. À Lille, François Jourde enseigne la philosophie sur Twitter. Sur le même principe, d'autres pédagogues privilégient sites ou blogs.
Il existe peu d'études sur le sujet. Et les rares spécialistes sont loin de crier au scandale. Audrey Guilbaud-Varachaud, professeur à Bayonne, mène par exemple une étude sur ce type de pédagogie. «Les élèves jouent le jeu et sont demandeurs. L'apprentissage des dates en histoire devient ludique, mais tout aussi efficace. La publication numérique permet en outre de mettre en valeur leur travail». «En passant par l'écrit, les élèves améliorent leur mode d'expression. Ce qu'ils mettent en ligne est entièrement public, ils réfléchissent donc également à leur identité virtuelle et à leur vie privée. Et puis inconsciemment, cette réflexion collective renforce la cohésion, crée une identité de classe et d'établissement. Comme du team building!», approuve Julien Llanas qui est, à Créteil, chargé de mission sur l'utilisation des nouvelles technologies dans l'éducation.
En Suisse romande, Lyonel Kaufmann sera le premier à adopter Twitter dans un cadre scolaire. D'ici début 2011, ce professeur d'histoire à la Haute école pédagogique du canton de Vaud fera travailler ses élèves sur le site. Son modèle? Le projet mis en place l'année dernière à l'université de l'Utah (Etats-Unis). «En 48 heures, onze étudiants ont reconstitué sur Twitter la bataille de Gettysburg, dit-il. Chacun devait endosser le rôle d'un des personnages, dont celui de Lincoln. Pour cela, ils ont dû reconstruire les faits, trouver des informations et les synthétiser... Très intéressant! Avec des collègues, nous allons donc développer un nouveau scénario en français».
Lyonel Kaufmann, blogueur émérite et fan des nouvelles technologies, est l'un des rares Suisses à faire entrer, pour l'instant, les réseaux sociaux sur les bancs de l'école. Jacques Daniélou, président de la société pédagogique vaudoise: «Il y a une méfiance généralisée sur cette question. Certains collègues ont été la cible d'injures publiées sur des blogs d'élèves. D'autres ont accepté leurs étudiants comme amis sur Facebook et s'en sont mordu les doigts. Parfois, il y a un mélange des genres un peu regrettable. Malgré cela, ce n'est pas une raison pour tout diaboliser.»
«Je crois que de nombreux professeurs craignent ce qu'ils ne connaissent pas», note François Flückiger, enseignant détaché au Centre de ressources interjurassien. «Il faut que l'école s'intéresse à Facebook afin de prévenir les dérapages et éduquer les élèves. Ceux qui s'y refusent peuvent utiliser educanet, un outil communautaire gratuit et moins risqué que les réseaux sociaux classiques».
En Suisse, nombre de professeurs optent pour cette alternative. Ou pour de simples blogs ainsi que des wikis - des sites modifiables par tous les utilisateurs. François Lombard, chargé d'enseignement en biologie auprès des professeurs du secondaire à Genève, utilise ces wikis depuis plus de sept ans. «Mes élèves vont chercher et trier des informations, qu'ils mettent ensuite dans le wiki pour nous les faire partager. Ils produisent leur propre savoir! Cela remet totalement en question le rapport maître-élèves. Celui qui enseigne n'a pas la science infuse, puisque les étudiants eux-mêmes sont porteurs de compétences et d'idées. 90% de ce qu'ils apprennent ne vient pas de moi».
Bel horizon. Les professeurs engagés sur ces voies insistent tout de même sur le fait que ce genre de dispositif suppose de cadrer rigoureusement les élèves (souvent au moyen d'une charte) et d'être souvent disponible, y compris le soir, pour corriger les fautes, donner les instructions, rappeler à l'ordre et vérifier le contenu du blog. La «pédagogie embarquée», comme les spécialistes l'appellent, dépend de l'engagement bénévole de l'enseignant...
Car les enseignants, eux aussi, ont une vie privée. Et s'ils n'utilisent pas Facebook en classe, ils s'en servent souvent pour garder contact avec leurs anciens élèves. Pascal Rey, enseignant de troisième primaire à Sierre, refuse les demandes d'amitié virtuelle de ses élèves de dix ans. Par contre, il est ravi de garder contact avec les enfants qu'il a connus il y a dix ou vingt ans. «En tant qu'enseignant, je me préoccupe de l'avenir de tous mes élèves. Sans Facebook, je les aurais perdus de vue. Alors que là, j'ai retrouvé ceux des anciennes volées avec beaucoup de bonheur. Je sais quel diplôme ils ont, où ils vivent... Comme on dit: loin des yeux, près du coeur».
Tags : enfant - enseignement - réseaux sociaux - Twitter
Lancée en 2005 par Nicholas Negroponte, célèbre professeur du Massachusetts Institute of Technology (MIT), la fondation One Laptop per Child (OLPC) a pour but de procurer un ordinateur portable, connectable à internet, aux enfants les plus pauvres de la planète. Ce pari est d'abord éducatif: connectés à l'information du monde, ces enfants disposeront des nouvelles opportunités d'apprendre, d'expérimenter et d'échanger. Avec un bagage plus grand, ils augmenteront leurs chances de sortir de la pauvreté, estime la fondation.
La tâche des promoteurs de OLPC a été particulièrement ardue : mettre au point un ordinateur à 100 $, robuste, auto-rechargeable, avec un écran permettant une lecture au soleil et susceptible de se connecter à un réseau sans fil (WiFi ou mobile). De plus, l'appareil doit pouvoir résister aux conditions locales (poussière, chaleur, etc.).
Une fois l'ordinateur conçu, il a fallu convaincre les ministères de l'éducation des différents pays en développement d'acquérir et de distribuer ces ordinateurs dans les écoles. Les gouvernements uruguayen et péruvien ont été les premiers à passer commande. En Afrique, le Ghana, le Sierra Leone et le Rwanda sont également devenus des partenaires de OLPC. Au total, près de 2 millions de XO auraient été distribués. Dans le monde, environ 1 milliard d'enfants fréquentent une école. OLPC estime à 100 millions le nombre total d'écoliers auxquels s'adresse son programme. Un long chemin reste donc encore à parcourir pour équiper cette vaste population...
Lien vers One Laptop per Child (OLPC)
Lien vers la galerie de photos de OLPC
Le Wiki officiel de l'OLPC
(Via l'article de l'AWT : "OLPC: livrer un ordinateur portable à tous les écoliers du Sud")
Tags : Afrique - AWT - enfant - International - Internet
Dans le cadre de l'Appel à candidatures de 2008 et, plus précisément du projet "EPN et écoles", l'EPN de Neufchâteau s'est investi dans un projet de sensibilisation des enfants et des enseignants à l'utilisation de l'outil informatique.
Si à l'origine, l'animateur dynamique de Neufchâteau, Patrick Weyders, avait l'idée de sensibiliser les enfants à l'utilisation d'Internet, l'idée d'exploiter les ressources multimédias s'est vite imposée. Voici un aperçu des deux projets menés par Patrick :
Et si on créait une chanson ? Les enfants de l'école de Longlier ont travaillé sur les photos, écrit des textes en collaboration avec l'animateur et pour la musique, Patrick (Chanteur, accordéoniste et guitariste au sein de Cré Tonnerre, nous le rappellons) a collaboré avec avec Raphaël, un ami de longue date et coutumier des clips originaux (cfr "On n'a pas peur du gros chat" sur la panthère noire ardennaise).
Quelques séances de retouches sur le texte, de "clics" sur les photos, d'écoute de musiques, de choix difficiles, il ne restait plus qu'à mettre tout cela en forme...
Et voilà "J'fais des clics" par les 6° primaires de Longlier, une chanson aux rythmes endiablés mise en musique et en images par Patrick Weyders, dans le cadre des TICMANIA, à l'EPN de Neufchâteau. Bravo !
Toujours dans le même esprit, une autre collaboration s'est développée avec l'école maternelle de Namoussart. Le projet, appelé "Contes en clips..." a consisté ici en la création et la mise en images de 4 contes écrits par les enfants.
Ce projet a nécessité d'abord l'apprentissage de l'utilisation de la souris, la recherche de photos, le travail sur le choix des couleurs, des polices de caractères... L'apprentissage de la retouche photo numérique et du montage des images ont développé l'imaginaire des enfants qui se sont montrés enthousiastes à l'idée de réaliser 4 clips illustrant leurs 4 contes : "La fée de la cabane", "Le lion de la mer", "L'épée de la montagne" et "Gare au loup".
Les 4 réalisations ont été présentées le 25 mai dernier sur écran géant dans les locaux de l'école de Namoussart. L'occasion pour les enseignants, les parents et les enfants de visualiser le résultat final d'heures de création et de travail. Une réussite indéniable !
Le site TICMania : http://ticmania.jimdo.com/
Making-Off en vidéos : Lien 1 - Lien 2
Tags : enfant - EPN - multimédia
Comment motiver les enfants à réviser leurs matières? Les sites dédiés sont peut-être une motivation pour ces "digital native". Retrouvez dans cette liste non exhaustive des sites d'exercices, des jeux ludiques pour les enfants de la maternelle au primaire.
Différents jeux, exercices.
http://pagesperso-orange.fr/jeux.lulu/, proposé par âge. Les thèmes abordés sont autour du nombre, logique et stratégie, orientation et déplacement, des lettres, des mots,...
Exercices pour tous de la maternelle à l'enseignement spécialisé.
http://www.pepit.be/exercices/maternelle/divers/couleurs/page.html
Jeux , exercices
http://www.takabosser.net/, points à relier, trouver et cliquer sur la lettre qui correspond au modèle, mémoriser les contraires courants, découvrir l'informatique, multiplication,...
Jeux éducatifs
Du côté des maternelles et CP
http://echosdecole.fr/, coloriage, jeu de mémoire, formes et couleurs,...
@ précède le nom de la personne pour accéder à sa page mais également pour lui répondre
Follows sont les personnes que l'on suit sur Twitter (abonnements)
Followers sont les personnes qui vous suivent (abonnés)
RT pour Retweet - Re-publication d'un message venant d'une personne que l'on suit, ces 2 lettres sont suivies par le pseudo de la personne (Forward, Fwd en messagerie)
# le dièse désigne des sujets (tags)
DM pour Direct Message : Diffuser une information confidentielle, message privé
Voici donc la première d'une longue série à venir des liens retenus :
Par @fgoudmant - EPN Mons-Centre - Fabienne Goudmant
Des quiz pour les 7-15 ans http://bit.ly/16TwjY
Fusionsearch, une fusion de différents moteurs de recherches tels que Bing, Yahoo, Google, Wolfra... http://yoolink.to/5fQ
PEclic, moteur de recherche pour l'éducation http://peclic.com/
Sélection des meilleurs logiciels gratuits http://bit.ly/mgg2B
BenderConverter : un service en ligne pour convertir et télécharger les vidéos de Youtube et Cie http://tinyurl.com/yctr3wp
Comment organiser une veille sur mot-clés http://bit.ly/5im9DL
Tutoriel vidéo : Faire un travelling ... avec un appareil photo http://bit.ly/bVBIm0 (via @smeablog)
Ressources en baladodiffusions / podcasts sur les TICE http://bit.ly/aPjA8h
Surveiller des pages Web sans fil RSS avec Google Reader http://twurl.nl/gtczsq
RT @isaz RT @fffod: Visioconférence : comment organiser les échanges ? Un article de l'Agence nationale des Usages des TICE http://bit.ly/dkEyHH
RT @Thot: [Activités] Apprendre la musique avec un jeu vidéo - http://www.mini-url.fr//0eo
RT @TBGoogleWave: Sympa ce feedback ! RT @michelguillou: Utiliser Google Wave en classe... http://bit.ly/8hFFju
Visioconférence : comment organiser les échanges ? http://tinyurl.com/ybl9auf
Vers un Hadopi belge http://techtrends.eu/vers-un-hadopi-belge/
Un outil qui permet de renforcer les liens entre parents, élèves et l'équipe pédagogique. http://tinyurl.com/yl2aalw
6 bons outils pour trouver des sites similaires http://tinyurl.com/ykjaq3z - Solfège
Un logiciel d'éducation musicale http://tinyurl.com/yfxc4fz
CyberClasse: la saga continue...http://bit.ly/arjgHM
Hotmail en version belge ? http://bit.ly/d1H9Gi
Le temps passé des ados devant les écrans est en hausse :http://bit.ly/5HT5f8
Comment choisir son accès à Internet d'après l'AWT ? http://bit.ly/6siMh4
Trouver un emploi grâce à Twitter ? http://tinyurl.com/y9vgke6
Tags : éducation - enfant - EPN - Internet - métier - multimédia - pédagogie - réseaux sociaux - Usages - veille
"Mon premier ordinateur pour faire presque comme les grands ! Un livre tissu avec des animations sur les pages, on peut : lire ses messages, reconnaître les formes, déplacer les pièces de feutrine sur la bonne forme, compter, jouer... Même la souris est extra, elle fait scritch scritch et pouic pouic !"