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C'est à l'attention des jeunes du quartier de Droixhe Bressoux que l'EPN de la Bibliothèque a mis en place le projet des explorateurs du numérique. L'idée, jouer avec le code et «ouvrir le capot ».
Les bibliothèques de quartier de la Ville de Liège, et plus largement le Réseau local liégeois de lecture publique, se sont engagés dans leur plan de développement de la lecture 2014-2018 à lutter contre la fracture numérique. Fabien Denoël, attaché au département culture pour la lecture publique de la Ville de Liège : «Le numérique est pour nous une priorité qui se décline en 3 objectifs : «Garantir l'accès, suivre l'évolution et encourager les usages collaboratifs.» Avec dans l'Epa@ce Lecture & Langage de Droixhe, un focus sur l'apprentissage dufrançais via les TIC à destination de jeunes largement issus de l'immigration.
Découvrir l'envers du décor
Le projet déposé dans le cadre de l'appel à projet Wall2016 permet d'ajouter une dimension ludique et d'explorer le potentiel créatif du numérique. «L'EPN de Droixhe accueille un public adolescent présent en nombre lors des séances d'accès libres, c'est vraiment devenu un lieu de rendez vous. La plupart des jeunes possèdent un smartphone mais leur usage des TIC se cantonne souvent à la seule utilisation des réseaux sociaux. Nous étions à la recherche d'un projet leur permettant de découvrir l'envers du décor.
Code & Jeux
D'où le choix de l'apprentissage du Code. «Ce pour permettre aux jeunes de s'approprier des contenus comme les jeux qu'ils utilisent quotidiennement. Par un processus d'appropriation tant individuelle que collective, les jeunes se réunissent tous les 15 jours avec une animatrice de Kodo Wallonie afin de développer des applications mobiles ludiques en rapport avec la thématique « Mon quartier, mes amis et moi ». Après une après-midi consacrée à la découverte de ce que revêt la programmation, le groupe a découvert lors de deux autres après midi supplémentaires différents outils de création numérique, comme Scratch, App Inventor, Javascript ou Unity. Céline Colas, coordinatrice Kodo Wallonie : «On travaille sur des petits jeux, des labyrinthes notamment. Deux autres groupes travaillent avec App Inventor, une plate forme un peu plus complexe, presque semi professionnelle, sur des jeux comme ceux de Mario et Sonic. »
Rencontrer des professionnels du jeu vidéo
En parallèle de ces développements, des rencontres avec des professionnels liégeois du jeu vidéo vont être organisées. «Il s'agit d'engager les jeunes participants dans un processus de dialogue avec les acteurs d'un secteur d'activités porteur. Ces rencontres seront de multiples occasions de retours sur les créations des jeunes mais aussi des opportunités d'éveiller les professionnels à les problématiques sociale. Une des spécificités est d'ailleurs de Kodo est la mise en relation des acteurs et des publics, des professionnels , des passionnés et des profanes pour permettre à tous d'appréhender les champs d'application du numérique dans la vie courante et l'univers professionnels. Les productions des participants seront présentées lors de la fête de quartier de Droixhe, en mai prochain. Elles seront également mises en ligne sur le site de la ville de Liège dédié au quartier de Droixhe Bressoux
Tags : alphabétisation numérique
L'initiative, née à Montreuil à Paris début 2014, est portée en Belgique depuis septembre de l'année dernière par une toute jeune équipe de deux personnes, dont Camille Françoise, chargée de projet. L'idée : promouvoir et faciliter l'apprentissage du langage de demain : celui de la programmation.
Camille Françoise: «Les voyageurs du Code sont portés par Bibliothèques Sans Frontières. L'objectif de cette ONG français présente dans de très nombreux pays est de réduire la vulnérabilité des populations grâce à la culture et l'éducation. Pour nous, les bibliothèques sont des lieux de partage et de mixité sociale pour lesquels nous venons en appui avec différents projets comme Koombook ou Ideas Box. De la taille d'un livre, Koombook crée un hotspot wifi sur lequel les utilisateurs peuvent se connecter à l’aide d’un smartphone, d’une tablette ou d’un ordinateur pour accéder à des des ressources éducatives, culturelles ou de formation. Il peut aussi être connecté à un téléviseur ou un vidéoprojecteur pour des activités de groupe. Ideas Box est une médiathèque en kit complètement autonome en énergie et en connectivité. Elle tient sur deux palettes. Cela permet d'approcher des populations qui n'ont pas facilement accès aux bibliothèques.»
S'amuser en programmer
«Avec les Voyageurs du Code, on travaille essentiellement sur l'initiation à la programmation informatique. Si l'on veut construire une société où les citoyens sont acteurs du numériques, il faut pouvoir les sensibiliser au code mais aussi déconstruire certains préjugés comme par exemple : non, le code n'est pas pour moi, c'est réservé aux grands ou aux ingénieurs ou le code, c'est triste. Nous montrons qu'on peut s'amuser en programmant, créer à tout âge et sans aucun pré-requis des jeux vidéos, des sites ou des applications. Il suffit de savoir lire !
Former un réseau de médiateurs numériques
L'idée, c'est de former des médiateurs numériques, des bénévoles qui vont consacrer un peu de leur temps à mettre en place des ateliers d'initiation à la programmation. Typiquement, la formation a lieu le samedi, durant une journée. Puis je les accompagne dans la mise en place des ateliers. Nous organisons également des apéro voyageurs du code où l'on continue à se former ensemble durant deux ou trois heures, puis on échange ses expériences autour d'un verre.»
Faire du code un programme populaire
Les voyageurs du code sont aussi à la recherche de partenaires susceptibles d'accueillir et d'organiser des ateliers d'initiation à la programmation à destination de leurs publics: enfants, ados, adultes, seniors rompus à l'informatique ou débutants. Ainsi, le 23 avril prochain, une formation de bénévoles est organisée par la bibliothèque de l'UT de Charleroi. Elle est gratuite et ouverte à tous. Il suffit de s'inscrire sur la plate-forme des Voyageurs. A terme, la bibliothèque proposera à son public un atelier mensuel, le samedi matin, où l'on pourra découvrir différents outils et se frotter de façon ludique à la programmation. Une formation a également eu lieu à Technofutur TIC. D'une durée de 2 jours, son objectif était d’accompagner les animateurs des EPN dans la mise en place d'ateliers de programmation en utilisant différents outils comme Scratch,code.org, scratch, app inventor ou codecademy, webmaker, thimble. «Nous nous mettons à la disposition des structures intéressées par cette mission, que ce soient des bibliothèques, des maisons de quartier, des écoles, des associations ou des EPN. L'idée est de faire de ce projet un vaste programme populaire.»
Tags : alphabétisation numérique
A Tubize, les participants à l'atelier les histoires digitales ont choisi de parler de leur commune où «Les choses se font et se défont». A Nivelles, à l'été dernier, l'atelier réalisé à l'occasion de l'événement «Les mondes» de Nivelles a rassemblé dans l'EPN de la bibliothèque des personnes originaires des 4 continents. Le 17 décembre dernier, les histoires digitales créées au Collectif des femmes à LLN ont fait l'objet d'une projection, «des histoires sensibles qui interpellent par leur force, leur authenticité, leur manière de rendre compte de réalités parfois difficiles en y glissant une bouffée d'optimisme.» Dernier atelier en date: à l'EPN d'Opprebais, sept histoires ont été concoctées, qu'on pourra partager lors du festival Vivre Debout du 11 au 13 mars au Centre Culturel de Perwez.
Laurence Delperdance, Secrétaire fédérale des Equipes Populaires du Brabant Wallon: «Tout est parti des histoires digitales créées par des éducateurs engagés dans des projets d'école en alternance dans les communautés Maya au Guatemala. Avec l'asbl Commundos, nous nous sommes lancés dans une nouvelle «équipée». Aujourd'hui, ce sont des histoires belges qui germent au fil de différents ateliers. L'objectif: associer images, commentaires et fonds musical pour composer une courte histoire qui donne à penser...à celui qui se penche sur un moment de son parcours, mais aussi à celui qui a découvert cette tranche de vie. Lors de l'atelier de Nivelles, il fut question de burn out, de la situation des femmes élevant seules leur enfant, de discrimination en matière d'accès au logement»
Accéder à une citoyenneté active
La méthode, si elle n'est pas neuve, plante ses racines dans le quotidien souvent chahuté d'hommes et de femmes, jeunes ou adultes, qui ont comme dénominateur commun d'être mis dans un étau de réalités mondialisées qui, tout en les dépassant, n'en n'ont pas moins un impact sur leur vie. Mieux comprendre ces enjeux, pour leur apporter l'éclairage du vécu à travers les histoires digitales, c'est à la fois une démarche citoyenne mais aussi un acte de résistance. En invitant les participants à se pencher sur un moment significatif de leur histoire puis à la partager avec d'autres, il s'agit aussi de permettre d'accéder à une citoyenneté active: cela en renforçant leur capacité à raconter, questionner , analyser, débattre, défendre.
Mieux comprendre
Laurence Delperdange : «Chaque participant choisit tout d'abord un thème important pour lui. S'ensuit une phase d'apprentissage de l’outil informatique, la recherche d'images et d'extraits sonores. A partir d'un logiciel simple et gratuit de montage vidéo, les stagiaires découvrent comment construire un scénario et composer les commentaires qui accompagneront les photos et les dessins. Chaque histoire va permettre de mieux comprendre une situation de la vie quotidienne, de la vie sociale. Par exemple, la recherche d’un logement, d’un emploi, la débrouillardise au quotidien… » Parmi les perspectives du projet, la création d'une plate-forme compilant l'ensemble des productions et l'organisation d'un festival.
Tags : alphabétisation numérique - citoyenneté - éducation aux médias - égalité numérique
Dans ses recommandations pour un Plan du numérique de la Wallonie remis en septembre dernier, le Conseil propose 50 mesures concrètes. Avec quels objectifs et priorités pour les EPN ?
Premier constat : la continuité avec la mission historique des EPN de réduction de la fracture numérique. Ici, la vision est de «renforcer l’accompagnement à l'usage du numérique, surtout pour les personnes les plus éloignées de celui-ci ». Cette mission d'inclusion numérique va être complétée par d'autres interventions, notamment à destination des jeunes scolarisés. Ils pourraient être touchés de façon ponctuelle : le Conseil évoque la mise en place de 2 semaines numériques par an (durant les « jours blancs » par exemple) où l'on pourrait faire appel à des structures d’intermédiation comme les EPN ou les Creative Hubs. Ou encore des actions de sensibilisation menées dans les écoles pour jongler avec les Game jam, Hackathon et autres FabLab.
Pérenniser les EPN
Sur le plus long terme, c'est toute la question de l'intégration de l'éducation aux médias et de l'identité numérique dans l'éducation citoyenne qui est posée. Les EPN pourraient également jouer le rôle de lieux de formation citoyens ainsi que de lieu de relais pour acculturation numérique des mandataires publics, travailleurs sociaux, commerçants locaux. Reste que, depuis plus de 10 ans en Wallonie, les EPN ont fait leurs preuves, «non seulement dans l'éducation numérique des publics plus défavorisés et éloignés des technologies mais aussi en tant que relais social dans la cité pour permettre aux citoyens de comprendre les enjeux de la révolution numérique dont ils peuvent devenir parties prenantes. » En effet continue le Conseil, «Les citoyens, surtout les plus démunis, ont besoin d'être accompagnés dans cette transformation qui touche notre façon d'apprendre, de travailler, de nous déplacer, de nous soigner, d'interagir avec les services publics, d'effectuer les paiements, etc. » Selon les auteurs du plan, il est donc important de prendre les mesures nécessaires afin de pérenniser les EPN, d'étendre leurs actions et d'en assurer la promotion. Cela devrait passer par le renouvellement de la convention d'animation des EPN pour l'année 2016 et suivantes, et par des actions d'impulsion au développement du réseau.
Pour un vrai statut stable des travailleurs des EPN
Des actions «à déterminer ». Si donc le flou reste sur la redynamisation des EPN en attente depuis très longtemps de soutiens structurels clairs, l'horizon semble se dégager avec la volonté de promouvoir la reconnaissance professionnelle du métier d'animateur multimédia et de médiateur numérique: «un vrai statut stable pour les animateurs est aussi le garant indispensable de la conservation et de l'évolution de ces expertises au profit du développement social et numérique de notre région. » Dont acte !
Tags : alphabétisation numérique - Médiation Numérique - animateurs multimédia
Lisez des Citoyens Responsables, Actifs, Critiques et Solidaires : c'est avec cette ambition qu'est né l'Espace Public Numérique mobile de Jemeppe-sur-Sambre.
L'EPN, un outil de cohésion sociale
Tout est parti d'une étude de terrain réalisée dans le cadre du Plan de Cohésion Sociale. Jemeppe-Sur-Sambre, c'est une commune composée de 8 villages et une population de plus de 18.000 habitants qui connait un taux de chômage de 15,4 % (1300 demandeurs d'emploi). Or une recherche active d'emploi nécessite une consultation régulière des sites d'offres d'emploi. Il y avait bien 5 ordinateurs à la bibliothèque communale, mais celle-ci ne disposait d'un formateur. En outre, il n'est pas facile pour une personne qui ne dispose pas d'Internet de se rendre de façon régulière dans une maison de l'emploi située à Sambreville ou à Namur, a fortiori si elle ne maîtrise pas l'outil informatique. Katja Bragard - Cheffe du Plan de Cohésion Sociale : « L'offre étant inexistante sur notre commune, nous souhaitions fournir aux habitants de chaque village l'opportunité de s'initier à l'outil informatique ou de se perfectionner, voire d'accéder librement aux ordinateurs ou éventuellement profiter de la connexion Internet gratuite. Il s'agit d'un outil essentiel d'une part pour des demandeurs d'emplois qui se trouvent de plus en plus en situation de grande précarité mais également pour les seniors et l'ensemble de la population. «
Modules spécifiques pour demandeur d'emploi
La formule de l'EPN mobile ? Le PCS a financé l'engagement à temps plein de Joël Roy avec, en parallèle, l'achat de 10 portables et de deux routeurs wifi. L'EPN mobile a été équipé pour transporter les machines qui peuvent rapidement être installées dans des locaux ad hoc (salles communales, écoles,...) au sein des différents villages. L'EPN travaille maintenant à décliner ses formations en fonction des publics. Joël Roy, Animateur de l'EPN Mobile :« Chaque mois, un module spécifique destiné aux demandeurs d'emploi est mis en place. Notre objectif est d'avoir 10 à 15 personnes à chaque module. Nous souhaitons également proposer des modules d'initiation pour les seniors, qui représentent un peu plus de 20 % de la population. Des stages pourront également être réalisés pour les jeunes de 12 à 18 ans (création de blogs, sensibilisation aux dangers d'Internet,...) »
Regard critique sur le numérique
L'EPN a été lancé début juin, avec dès le départ le souci de l'appropriation des TIC par les publics. Au programme, des formations mais aussi des animations tout public comme « Le numérique dans ma vie » ou encore «Mon empreinte numérique». L'EPN joue également le rôle de conseil avec des sessions comme « Le comparateur de prix pour les télécommunications ou pour les fournisseurs d'énergie ou « La carte de Pointage électronique». Joël Roy : « Nous fonctionnons dans une logique d'éducation permanente, avec une volonté de développer l'autonomie informatique de nos usagers, avec un regard critique porté sur le numérique. Pour l'instant, nous touchons essentiellement les demandeurs d'emploi et les seniors, mais petit à petit, nous allons élargir nos propositions d'atelier à d'autres publics. Les commerçants et les artisans par exemple avec des propositions de modules de création de sites. L'avantage de l'EPN mobile est qu'il puisse aller au plus près des citoyens et des événements. C'est ainsi que l'EPN mobile sera présent à Sambre Plage qui a lieu cette année lors du week end des 25 et 26 juillet. »
Tags : alphabétisation numérique - Plan de cohésion sociale - citoyenneté - e-inclusion
C'est le jeudi 23 avril dernier, dans le cadre de la semaine numérique, que le désormais traditionnel colloque sur la fracture numérique s'est tenu au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Au programme de cette année, 3 thématiques : l'école numérique, le passeport TIC et l'intégration et l'inclusion des Neet's, ce dernier projet impliquant 4 EPN de Wallonie.
Parcours pilote d'insertion
L'expression vient d'Angleterre. Les Neet's (Not in education, Employment or training), ce sont ces jeunes, âgé de 15 à 24 ans, qui échappent à toute filière d'insertion et de formation. On estime à 30.000 en Wallonie ces jeunes en situation de désafiliation. Avec l'appui de la cellule Citizenship de Microsoft, Technofutur TIC lance à leur égard un projet pilote de parcours de formation articulé autour des TIC. L'objectif ? Que 4 EPN, ceux de Louvain-la-neuve, Boussu, Huy et Verviers, sensibilisent et redonnent confiance à 300 jeunes via une formation informatique.
Redonner confiance
C'est en 2012 que Microsoft a lancé un programme d'accompagnement de la jeunesse baptisé YouthSpark. Déployé en partenariat avec les pouvoirs publics et les tissus associatifs locaux, il a pour objectif, à travers une formation IT basée sur les outils de l'éditeur américain, de redonner confiance aux jeunes dans leur démarche de recherche d'emploi et/ou de formation. Microsoft a ainsi monté des projets de formation pour jeunes demandeurs d'emploi avec des organismes comme Bruxelles Formation, COF Belgique ou encore CDO Spoor 5 Mechelen. Après avoir pris contact dans le même sens avec le Forem, et plus spécifiquement avec Bernard Asbrouck, chercheur à l'ULB spécialisé dans cette question de la désappartenance et Conseiller Général au Forem, Bruno Schröder, le responsable belge du programme Youthspark, a pris langue avec Technofutur TIC pour un projet pilote de parcours de formation qui passera par les EPN. C'est une première, qui pourrait déboucher sur un plan plus vaste.
Des parcours de formation dans 4 EPN
Eric Blanchart, Chargé de mission EPN de Wallonie : "Dans le montage du projet, les EPN de Boussu, Huy, Louvain-la-neuve et Verviers ont été choisis pour le travail social qu'ils avaient déjà mené auprès des jeunes et pour les indicateurs régionaux qu'ils vont pouvoir fournir. Le but est de toucher 300 jeunes, 75 par EPN. Ils vont passer pour la prise de contact par des partenaires locaux comme les animateurs de rue, les SAS (Services d'Accrochage Scolaires), les CEFo ou les MIRE (Missions Régionales pour l'Emploi). Idéalement, il s'agit d'en intéresser 50 par structure à suivre un parcours de formation TIC. Sur ce groupe de 50 jeunes que chaque EPN va former, nous voudrions qu'au moins la moitié d'entre eux fasse l'entièreté du parcours. Donc, au terme du projet pilote, nous aurions une centaine de jeunes capables de se réintégrer dans une filière de formation. » Si l'expérience aboutit et que les EPN s'avèrent constituer une bonne structure pour l'accueil et l'accompagnement des jeunes en décrochage, un appel à projet plus large pourrait être lancé l'année prochaine, dans un cadre européen.
Tags : alphabétisation numérique - e-inclusion - formations
Tags : alphabétisation numérique - code - NUMEDIART - Processing - Programmation - UMONS